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* forum du site Marikavel : Academia Celtica   dernière mise à jour 25/10/2024 10:56:14

Mabbo : évêque de Léon, en Petite Bretagne, fin Xè siècle; successeur de Conan, lui même succédé par Paulinien (cf. Albert Le Grand)

Famille Mabille : seigneurs des Granges, du Rochereau. "d'azur à trois écussons d'argent, chargés chacun de trois mouchetures de sable" / "En glazur, e dri skoedig en arc'hant, pep hini karget gant teir brizhenn erminig en sabel"

Mabinogion : oeuvre épique galloise, basée sur des histoires et traditions celtiques anciennes : Culhwch et Olwen

 

 

* Mabon : équivalent gallois d'Apollon;

Mabon : évêque de Vannes, en Petite Bretagne, au VIè / VIIè siècle; Il aurait succédé à Haimon (Hamon), et aurait eu pour successeur Morvan.

 

* Macalu : nom de divinité sur une inscription de Séraucourt (Bourges, France). cf Rivet & Smith. p 405.

Famille Macé, seigneurs de la Barbelais, en Savenay; de Puytesson; de la Salle; de la Salle; de Beauvoir; de la Cout-Thebaud; de Launay-Hazard, de Maupiron en Auverne."d'azur à trois masses d'armes d'or, 2 en sautoir, 1 en pal, le gros bout en haut, les piquerons de gueules" / "en glazur, e deir gadhorzh en aour, div lammellet, unan peuliet, ar beg tev ouzh kab, ar vroudoù en gwad". (GdG - PPC)

Famille Macé : seigneur de Prébusson et de Trebulan, paroisse de Guer; de la Grationnaye, paroisse de Malensac : Croix pattée, chargée de cinq coquilles (sceau 1380) / Kroaz pavek karget gant pemp kregilhenn (siell 1380) (livioù nann anavezet). cf Pol Potier de Courcy

Famille Macé, seigneur de la Fresnaye, en Réminiac. Voir de la Fresnaye

Famille Macé, seigneur de Janciou en Saint-Hilaire-des-Chaléons; de la Bourdinière et la Templerie, en Château-Thébaud. Dessin en attente

 

* Macédon, premier roi d'AEmathie fils d'Osiris, selon Hierome de Bara, p. 137 :

Famille de Machecoul : Ramage de Retz. Seigneur dudit lieu, en Sainte-Croix; de la Bénaste, en la paroisse de ce nom; de Coustumier, en Saint-Philbert; de Vieillevigne, de Crossac, pararoisse de ce nom; de la Gaisne, en Corsept; des Huguetières, en Pont-Saint-Martin; de la Roche-Servière dans les Marches; de Saffré, paroisse de ce nom; du Souché en Saint-Aignan; de Kergrois, en Remungol. "d'argent à trois chevrons de gueules" / "en arc'hant, e deir gebrenn en gwad". sceau / siell 1276. (PPC)

Famille Machefer : seigneur de la Macheferaye et du Verbois, en Mordelles; de l'Ecluse, en Plestan. "de sable à trois fers de cheval d'argent" / "en sabel, e zri houarn-marc'h en arc'hant". Références et montres de 1427 à 1535. (PPC)

Macliavus : 7è évêque de Vannes, en Petite Bretagne, après 500. Il aurait succédé à saint Saturnin, et aurait eu pour successeur Eunius.

Mac Neil (Eoin) : fondateur, avec Douglas Hyde, de la Ligue Gaélique, en 1893. Fondateur, en 1913, de la Irish Volunteers.

  * Mac Oc : équivalent irlandais d'Apollon.

  Macuil Maccu greccae : roi païen d'Irlande, converti par St Patrick

Famille Maczon / Le Masson : seigneur des Loges, en Brutz; de la Feuillée, en Goven; de la Bouffardière, en Montgermont; de la Lambardière; de Beauvais; de la Noue; du Coudray; du Rocher. "d'argent à trois feuilles de houx de sinople" / "en arc'hant, e deir delienn kelenn geotet". Devise / Ger-ardamez : Fiat voluntas Dei. (PPC)

 

Famille Madaillan : originaire de Guyenne. seigneur dudit lieu; de l'Esparre, en Médoc; comte de Chauvigny, paroisse d'Athée, en Anjou; seigneur de Montataire, en Picardie; de Cahan, en Fougeray; de Kerongard, en Piriac; de la Villevoisin, en Augan; marquis de Lassay, au Maine en 1647. "Ecartelé; aux 2 et 4, tranché d'or et de gueules, qui est Madaillan; aux 2 et 3, d'azur au lion d'or, armé, lampassé et couronné de même, qui est L'Esparre" / "Palefarzhet; ouzh 2 ha 4, benet etre aour ha gwad, hag a zo Madaillan; ouzh 2 ha 3, en glazur e leon en aour, krabanet, teodet ha kurunet ivez en aour, hag a zo L'Esparre". Sceau / Siell : 1543. (PPC)

Famille Madec : seigneur de Pratanraz, en Penhars. "d'azur à l'épée flamboyante en fasce, à la garde et la poignée d'or, accompagnée e chef d'une étoile d'argent, et en pointe d'un croissant d'or" / "en glazur, e c'hleze flimminant treustellet, e c'hrogenn ha dornell en aour, eilet ouzh kab gant ur steredenn en arc'hant, hag ouzh beg gant ur greskenn en aour"

René Madec, né à Locronan, nabab, gouverneur du Mogol, anobli en 1780. (PPC)

Famille Madeleneau : seigneur de Bréron, de la Barbotière et du Champarain, en Château-Thébaud; de la Briancière, en Fresnay; de la Templerie; du Plessix; de la Ménardière. "d'argent à neuf glands de sinople, 3, 3, 3" / "en arc'hant e nav mezenn geotet 3,3,3". 1599; 1606; 1623; 1671. (PPC)

Famille Madic : seigneur de Dréneuc, en Guérande; de Kerhuel; des Maisons-Neuves; de Chartres, paroisse de ce nom; de Ranlieu; de Kerfus; du Pouldu et de Ville-Aublays, en Saint-André des Eaux. "de gueules à trois lionceaux d'argent" "en gwad, e zri leonig en arc'hant". Référence en 1445. (PPC)

alias : "d'or au lion de gueules" / "en aour e leon en gwad". (G.l.B)

Famille Madieu : seigneur de Keranmoal et de Moguermeur, en Pouldergat. débouté, réf. 1670, ressort de Quimper. (PPC)

      Maegla : second fils du roi germanique Port (?), débarqué avec lui en Ile de Bretagne en 501 (ASC).
      Maël Duin

    Maelgwn Gwynydd (ap Cadwallon) : arrière petit fils de Cunedda; roi de Gwynedd au début du VIè siècle.; il est vivement conspué par St Gildas; Indication importante du moine Gildas : "Dans les premières années de ton adolescence, n'as tu pas très durement vaincu par l'épée, la lance et le feu, le roi, ton oncle maternel, et presque tous ses soldats, si courageux, dont les visages, au combat, ressemblaient fort à ceux des soldats de la Lionne ?", Ce texte, par le parallélisme des thèmes évoqués, laisserait à penser à une identification possible entre Maelgwn et Mordret de la Légende arthurienne. Ceci voudrait dire que Maelgwn est le fils d'un frère ou d'une sœur d'un roi important. On ne connaît pas de frère au roi Arthur, mais deux sœurs : Morgane, et Anne. Il s'agirait de cette dernière. Selon ASC, Maelgwn est décédé en 547/549 de la "yellow plague" (peste jaune ?);

Selon Ch. Kerboul-Vilhon : Maelgwn est mort "frappé de la peste justinienne, vers 551, dans l'église de Rhos, près de Caer Rhun, son nid d'aigle de Deganwy, qui commande l'estuaire de la Conwy".

Étymologie : Maël = prince; kon = chien; c'est à dire Prince de guerre, chien de guerre. Son nom, sans référence obligatoire à ce personnage précis, est l'éponyme de la commune de La Méaugon = Lanvaelgon, près de Saint Brieuc, en Petite Bretagne.

Maengi de Porhoët : évêque de Vannes, en Petite Bretagne, de 1060 à 1085 environ;; Il a succédé à Budic, et a eu pour successeur Morvan II.

     

Maetae : nom de peuple celtique de l'Ile de Bretagne, quelque part en actuelle Écosse; non exactement identifié.

?

Famille Le Mafay : Seigneur de ???. "d'argent à dix losanges de sable" / "en arc'hant e zek talbennan en sabel". Armorial de l'Ars. (PPC)

Famille Magnelais : Originaire de Picardie. Seigneur du Loroux, en Loroux-Bottereau. "de gueules à la bande d'or" / 'en gwad e sourin en aour". sceau / siell 1337. (PPC

      Magloconus : voir Maelgwn Gwynedd.
      Magloire (Saint)
     

Magnus : Préfet du prétoire des Gaules, en ***; Consul en 460 pour l'Ouest, avec Apollonius pour l'Est. On lui connaît trois enfants : Magnus Felix, Probus, Araneola.

      Magnus Felix : fils du consul Magnus. Ami et condisciple de Sidoine Apollinaire; Patrice, vers 468; Préfet du Prétoire des Gaules

Famille Magon : originaire d'Espagne. seigneur de la Lande; de la Fontaine-Roux; de la Villebague, à l'île de France; de Tregueurye; de la Belinaye; de Coëtizac; du Bosq; marquis de la Gervaisais en 1765; vicomte du Faou; seigneur de la Chipaudière, en Paramé; de la Villepoulet; de la Vieuville; de Saint-Hélier de la Bréhaudais et de la Ville aux Oiseaux, en Saint-Jouan-des Guérets; baron de Médine; seigneur du Clos-Doré; de Terlaye; de la Balue; du Boisgarin, en Spézet; du Plessis-Bertrand, en Saint-Coulomb; de la Ville-Huchet et de la Giclais en Saint-Servan; vicomte du Boschet, en Bourg des Comptes; vicomte d'Appigné, en le Rheu; seigneur de Montmartin, en Pleurtuit.

"d'azur au chevron d'or, accompagné en chef de deux étoiles de même, et en pointe d'un lion aussi d'or, couronné d'argent" / "en glazur, e gebrenn en aour, eiliet ouzh kab gant div steredenn ivez en aour, hag ouzh beg gant ul leon ivez en aour, kurunet en arc'hant". (PPC)

Mahyeuc (Yves) : évêque de Rennes, en Petite Bretagne, de 1507 à 1541; il a succédé à Robert Guibé, et a eu pour successeur Claude Dodieu.

Famille Maignan :  Texte de Pol Potier de Courcy; adaptations mineures et traduction bretonne pazr J.-C. Even

MAIGNAN (LE), seigneurs de l'Oiselinière, par. de Gorges; de l'Ecorse et du Marchais, par. de Vieillevigne; de l'Espinay, par. de Saint-André-de-Treize-Voix; du Coing-Garreau, par. de Saint-Étienne de Corcoué; de Lescherie, par. de Bain; de la Fossardaye, par. de Messac; de la Mordelais, par. de Fay; de Kerangat, par. de Saint-Jean-Brévelay; de Kerbellec, par. de Reguiny; de Kermané, par. de Plougoumelen; de Kermello, par. de Brech; du Bois-Vignaud, de la Vi1leauroux, de Kerlosquet, de Francheville, dc Kerbasco, par. dc Radenac; de Kerdaniel, de la Patouillère, par. du Pellerin; de la Rouaudière, par. de Saint-Père-en-Retz; de la Touche-Barangier, du Coing, de la Roche-Brochart et du Chastellier en Anjou; de Montchenin et de la Verrie, en Poitou.

Anc. ext., réf. 1668, huit gén.; réf. et montres de 1428 à 1543, par. de Saint-Brice-de-Clisson et Couëron, év. de Nantes, Bain et Messac, év.de Rennes, Languidic, Reguiny et Plougoumelen, év. de Vannes.

De gueules à la bande d'argent, chargée de trois coquilles de sable

- Morice, sr de 1'Oiseliniére, fils de Guillaume, et Macée sa femme, font en 1367,  l'arrentement d’un hébergement sis dans la paroisse de N.-D. de Clisson; 

- Jean, fils de Morice, fait un acte d'acquêt en 1390 et épouse l'héritière de l'Ecorse;

- Olivier, chanoine de Tours en 1388; 

- Pierre, abbé de Villeneuve, mort en 1424;

- Rolland, accompagne le duc en France en 1418 et épouse Jeanne, dame du Marchais, dont : 

- Olivier, garde des sceaux de Bretagne en 1457

- Jean, bouteiller de la duchesse d'Amboise en 1451, ce dernier, père

-- 1° de Jean, qui a continué la branche des sr de l'Ecorse, dont Charles, chevalier de l'ordre en 1648;

-- 2° de Pierre, auteur de la branche de Kerangat; 

-- 3° de Jacques, auteur de la branche de la Verrie, maintenue à l'intendance de Tours en 1666 et par arrêt de conseil de 1785, dont un membre du conseil supérieur des armées vendéennes. blessé à l'attaque de Granville et tué à la bataille du Mans, en 1793.

La branche aînée fondue au XVè siècle dans PRÉZEAU.

     

Maillard, dit Tappe-Dur : extrémiste révolutionnaire, responsable de nombreux massacres, dont ceux de la prison de l'Abbaye, à Paris, en septembre 1792

Maillé de la TourLandry (Jean-BaptisteMarie) : premier évêque concordataire de Rennes, en Petite Bretagne, de 1802 à 1804; il a succédé à François Bareau de Girac, et a eu pour successeur Etienne-Célestin Enoch.

 

Mailocus : deuxième fils de Caunus, et frère de St Gildas; instruit par son père en matière sacrée, il se retire à Lyuhnes, dans le canton d'Elmail, et y construit un monastère.

Main : évêque de SaintMalo, en Petite Bretagne, vers 840/846, après Iarnwaltus et avant Salocon

Main : évêque de Rennes, en Petite Bretagne. décédé en 1076; il a succédé à Triscan, et a eu pour successeur Sylvestre de la Guerche.

Famille Mainfeny : Seigneurs du Breil, en Mondevert, évêché de Rennes. "de gueules au chevron d'argent, accompagné de trois étoiles de même" / "en gwad e gebrenn en arc'hant heuliet gant teir steredenn ivez en arc'hant" (Armorial de l'Arsenal)

- Jean, maître des comptes en 1423

- Famille fondue dans Couaisnon. (PPC)

Famille Le MaistreTexte de Pol Potier de Courcy. Adaptations mineures et traductions bretonnes de J.-C. Even.

MAISTRE (LE), seigneurs de Boisverd, par. de Saint-Aubin-des-Châteaux; de la Garrelaye, par. de Derval; de Créneuc, par. de Saint-Vincent-des-Landes; de la  Bénardière; de Launay-Bazouin et de Clerhal, par. de Fougeray; de la Haye, par. de  Missillac; du Ros, par. de Nivillac; de Lorme, par. de Sion; du Plessis, par. de Jans; de la Gairoulais par. de Soulvache; de Thibaudière, par. de Touvois.

Anc ext chev., réf. 1668, sept gén.; réf. de 1443 à 1478, par. de Saint-Aubin-des-Châteaux et Soulvache, év. de Nantes.

D'azur au lion d'argent, accosté de deux épées de méme en pal, garnies d’or, les pointes en haut

En glazur e leon en arc'hant, hebiaet gant daou c'hleze ivez en glazur peuliek, krogennek en aour, begoù ouzh kab 

 (Sceau / Siell 1289); 

vovez / gwelout CHAMBALLAN.

- Artur, chambellan du duc Jean II en 1289 ;

- Alain, marié à Jacqueline de Fercé, combattit vaillamment à la bataille d'Auray, et fut nommé capitaine de Jugon en 1364

- Pierre, vivant en 1443, et Françoise Guéhéneuc, sa compagne, père et mère de 

-- 1° Jean, auteur des srs de la Garrelsye, lequel suivit les Rois CharlesVIII et Louis XII en Italie, et se trouva à la bataille de Fornoue en 1495 et au combat de Terre-Nove en 1502

-- 2° Armel, auteur des s“ de Créneuc; 

- Robert, chevalier de Rhodes en 1438; commandeur de Carentoir.

- Jacques, conseiller au parlement en 1558

- Guillaume, chevalier de l'ordre en 1598, capitaine des châteaux de Blain et de Vitré, qu'il défendit contre le duc de Mercœur en 1589;

- un page du Roi en 1712;

- un aumônier du Roi, chanoine, comte de Lyon, abbé de Chévry au diocèse de Reims et évêque de Clermont en 1743, décédé en 1776

- une abbesse de Saint-Sulpice de Rennes en 1778.

La branche aînée fondue en 1490 dans MARBRE; la branche de la Garrelaye éteinte en 1763.

     

Majan (Saint) : Fils de Tugdonius; frère de Saint Gouesnou et de Tugdonia; éponyme de LocMajan;

   

Majorien (Flavius Julius Valerius Majorianus) : plus connu sous le nom de Majorien. Il est né vers 428. Son père était haut fonctionnaire chargé de l'administration des revenus en Gaule. Sa mère était la fille d'un général qui, sous Théodose Ier, commande les troupes de l'Illyrie. Il fait ses premières armes en 435-437, en Gaule, lors de la répression des bagaudes. Sous Valentinien III, Pétrone Maxime et Avite, il occupe la charge de chef de la garde impériale. En compagnie de Ricimer, chef des armées, du moins ce qu'il en reste, il capture, près de Plaisance, le mercredi 17 ou le jeudi 18 octobre 456, l'empereur Avite, le destitue et le place sur un autre trône, celui de l'évêché de Plaisance. Le mercredi 27 février 457, Léon Ier, empereur de Constantinople, décore Ricimer du titre de patrice et Majorien de celui de généralissime. Mais les deux complices veulent d'avantage. Ils veulent le trône impérial (en Occident). Si Ricimer ne peut y prétendre à cause de son origine barbare. Majorien, lui, a toutes les qualités requises... Il n'est donc pas étonnant que (l'armée) le proclame empereur, le lundi Ier Avril 457, près de Ravenne. L'empereur d'Orient conteste cette décision. Il ne reconnaît à Majorien que le titre de césar. Mais celui-ci n'a que faire de ces réticences. Le samedi 28 décembre 457, il prend le titre d'auguste. Après avoir subit un échec face aux Vandales, en 460, Majorien est fait prisonnier par Ricimer qui tient les rênes de l'armée, à Tortona, entre Gênes et Pavie, le mercredi 2 août 461, et décapité le lundi 07 août, sur ordre de son ancien complice.

  Malachy :

* Malcolm :

Malcolm Ier

Malcolm II

Malcolm III

Malcolm IV

  Charles Malenfant : Né à Rennes le 27 février 1763. D'abord orienté vers le Droit, à l'âge de 18 ans, il s'inscrit en 1781 au barreau de Nantes. En 1789, à l'âge de 26 ans, il prend parti pour la Révolution, en s'engageant au mois de juillet dans le bataillon des Volontaires Nantais. Républicain et abolitionniste, il est nommé lieutenant des dragons coloniaux en 1790, et est affecté à Saint-Domingue. Il y participe à la répression des esclaves révoltés. Il est gravement blessé, et laissé pour mort, le 17 mars 1794. Il est fait prisonnier par les Anglais quelques semaines plus tard, et envoyé à la Jamaïque. Libéré un an plus tard, il rentre en France, à l'âge de 31 ans. Il décède à Pacéle 23 août 1827, à l'âge de 64 ans. 

 

Famille de Malestroit : Texte de Pol Potier de Courcy. Adaptations mineures et traductions bretonnes de J.-C. Even.

MALESTROIT (DE), baron dudit lieu en 1451, sr de Châteaugiron, de Combourg,  de Rougé, de Derval, d’Oudon, baron de Keraër en 1535, par. de Locmariaker, s‘ du Plessis, par. de Crac’h, comte de Largouët, par. d’Elven, sr de Kerambourg, par. de Landaul, de Trémédern, par. de Guimaëc, du Plessis-Eon, par. de Plufur, de  Beaucours, par. de Bothoa, de Roguédas, par. d’Arradon, du Châstel, de Mésanger, par. de ce nom, de la Soraye, par. de Quintenic, du Marchaix,  d’Uzel, par. de ce nom, de Quifistre, par. de Saint-Molf, de Pont-Callec, par. de Berné, de Tronchâteau, par. de Cléguer.

Réf. et montres de 1426 é 1543, par. d’Oudon, év. de Nantes, Locmariaker, Crac’h, Elven, Landaul, Arradon et Cléguer, év. de Vannes, Guimaëc et Plufur, év. de Tréguier, Bothoa, év. de Cornouaille, Quinténic et Uzel, év. de Saint-Brieuc.

"De gueules à neuf besants d’or, 3. 3. 3. (Sceau 1309); alias: chargé en abyme d’un léopard d’or (Sceau 1303); alias: écartelé aux 1 et 4: de vair à la bande de gueules, qui est CHATEAUGIRON, aux 2 et 3: de gueules à cinq besants d'or en sautoir"

"En gwad e nav bezantenn en aour, 3. 3. 3. (Siell 1309); neuz all : karget ouzh kondon gant ul leonparzh en aour (Siell 1303); neuz all : palefarzhet ouzh 1 et 4: brizhet e sourin en gwad, hag a zo CHATEAUGIRON, ouzh 2 ha 3: en gwad e femp bezantenn en aour lammellet"

Devise / Siell : Quæ numerat nummos, non malestricta domus.

- Juhaël, assiste aux funérailles d’Alain Fergent, dans l'église de Redon en 1119;

- Geoffroi, capitaine d'Auray et Jean son fils, décapités à Paris en 1344, pour avoir favorisé le parti de Jean de Monfort;

- Jean, premier président aux comptes, chancelier de Bretagne et évêque de Saint-Brieuc, puis de Nantes, décédé en 1443, frère de

- Thibaud, évêque de Tréguier, puis de Cornouaille, décédé en 1408;

- Guillaume, neveu des précédents, évêque de Nantes, archevêque de Thessalonique et abbé de Saint-Séver au diocèse de Coutances, décédé en 1491 .

La branche aînée fondue vers 1352 dans la maison de Châteaugiron, qui prit le nom de Malestroit, d’où la baronnie de Malestroit est passée successivement aux RAGUENEL, RIEUX, LAVAL, MONTJEAN, ACIGNE, COSSÉ-BRISSAC, GUÉNÉGAUD, LANNION et SÉRENT; 

La branche d’Oudon éteinte en 1550; 

La branche de Keraër fondue vers 1600 dans MONTALAIS; 

La branche d'Uzel fondue dans COËTQUEN, puis DURFORT; 

La branche de Pontcallec fondue dans PAPIN puis GUER.

Jean de Malestroit : évêque de Saint-Brieuc, puis de Nantes, en Petite Bretagne. Chancelier de Bretagne e 1406. Décédé en 1443.

  Malo (Saint) :
 

Malory (Thomas) : auteur littéraire britannique. Auteur du roman arthurien La Morte d' Arthur*;

 

Ordre de Malte : (le triskell ci contre, est un lien actif menant directement au site officiel de l'Ordre de Malte)

Certains noms sont des liens électroniques menant à des pages spécifiques.

* en Petite Bretagne :

PontMelvez

  Manannan

Manapii : Peuple celte d' Hibernie,
  Manawyddan

 

Mandubracios : prince breton des Trinobantes, dépossédé par Cassivellaunos, roi des Catuvellauni. C'est Mandubracios qui rejoint Jules César en Gaule en 55 ou 54 et qui fournit à celui-ci les connaissances nécessaires pour la guerre contre les Catuvellauni et Trinobantes, en 54 avant J.C. Son nom en breton moderne serait proche de *Manvreg.

Manlius (Maximus) : fut écrasé, en compagnie de Servilius Coepio, par les Cimbres et les Teutons, près d'Arausio / Orange, le 6 Octobre 105 avant J.C.

 

Mannay (Charles) : évêque concordataire de Rennes, en Petite Bretagne, de 1820 à 1824; il a succédé à Etienne-Célestin Enoch, et a eu pour successeur Claude-Louis de Lesquen.

 

 Jean-Jacques Manrot, alias Jean-Jacques Le Goarnig, dit Goarnig Kozh (voir Le Goarnig)

 

Mansuetus : qualifié évêque des Bretons au concile de Tours, en 461.

   

Maodez Glandour : pseudonyme choisi par l'abbé Loeiz ar Floc'h, né à Pontrieux en 1909, nommé en 1936 recteur de Louannec, fonction qu'il exercera pendant 30 ans. Poète, écrivain, théologien, historien, compositeur. Militant de la langue bretonne. Il est décédé à l' hôpital de Lannion le 25 novembre 1986.

Le Maout : Seigneurs de Menez-Penpount et Kergadiou, en Gourin.

Alain Le Maout : né au Faouët, en ?  Évêque de Léon, de 1482, à 1484; puis de Quimper, de 1484 à 1492; Premier président de la Chambre des Comptes de Bretagne de 1486 à 1492. Décédé à Quimper en 1493.

 

Maponos / us : dieu celtique, apparenté à Apollon (cf. I.A. Richmond; Roman Britain; p 138)

 

MarcAurèle : empereur romain.

 

Marcellus (Lucius Neratius Marcellus) : gouverneur de (G)Bretagne, de 100-101 à 103 au plus tard; il a succédé à Titus Avidius Quietus, et a été remplacé peut être par Marcus Appius Bradua.

 

Marcellus (Ulpius Marcellus) : gouverneur romain de (G)Bretagne, entre 180 et 185 environ après JC; il a succédé à Caerellius Priscus, et a été remplacé par Publius Helvius Pertinax.

Famille de Marc'hec  : Texte de Pol Potier de Courcy. Adaptations mineures et traductions bretonnes de J.-C. Even.

MARC'HEC ou MAREC, en français CHEVALIER,, seigneurs de Kerbaul, par. de Châtelaudren; de Pellan, de Kerguilly et de Kerouzien, par. de Plouagat; de Kerouriou; de Keréven et de Penquer, par. de Guirnaëc; de Kerénor; de Kerouc'hant; de Kerivoaz; de Montbarot et de la Martinière, par. de Saint-Aubin de Rennes, de la Boullaye, par. de Pacé; de Beaulac, par. de Goven; du Plessix-Balisson, par. de ce nom. 

Anc. ext. chev., réf. 1669, sept gén.; réf. et montres de 1434 à 1543, par. de Plouagat-Chatelaudren et Goudelin,év. de Tréguier, Saint-Aubin et Pacé, év. de Rennes.

D'argent au lion de gueules, armé, lampassé et couronné d'or; à la fasce de sable brochante, chargée de trois molettes d’argent

En arc'hant e leon en gwad, krabanet, teodet ha kurunet en aour; e dreustell balirant en sabel, karget gant teir rodig-kentr en arc'hant

Devise / Sturienn : In te, Domine, speravi, non confundar in aeternum.

- Rolland, croisé en 1248 (cab. Courtois); mais nous ne
savons à quelle famille Marc’hec il appartenait.

Celle-ci a produit : 

- Geoffroi, évêque de Cornouaille, décédé en 1383

- Guillaume, vivant en 1434, marié :1° à Olive de Rosmarz,  2° à Isabeau Taillart.

Du premier lit :

-- NicoIas, époux d'Isabeau le Roux, père et mère de : 

--- Alain, sénéchal de Rennes, conseiller aux Grands-jours de Bretagne en 1498, signataire du traité de mariage d'Anne de Bretagne et de Louis XII en 1499, marié à Luce de Bourgneuf, auteurs des seigneurs de la Martiniére et de Montbarot, dont :

--- Pierre, conseiller aux Grands-jours de Bretagne en 1523

---- Alain, président aux comptes en 1524;

---- Pierre, conseiller aux Grands-jours, puis au parlement en 1554, père de René, gouverneur de Rennes en 1583, chevalier de l'Ordre en 1599

Du deuxième lit : 

-- Rolland, époux de N. Gallais, qui ont continué la filiation des branches de l'évêché de Tréguier.

La branche de Montbarot fondue dans LA CHAPELLE DE LA ROCHE-GIFFART. (Famille éteinte).

Maurice Charles Lucien Marchal, dit Morvan Marchal, druide Artonovios = Pierre Nouvelle. Architecte. 2éme grand prix de Rome en 1924

Né à Vitré le 13 juillet 1900, d'un père vosgien de Gérardmer et d'une mère bretonne de Lohéac.

Il fonde en 1918 le Groupent régionaliste breton, puis, en janvier 1919, l'association politique nationaliste bretonne Breiz Atao. En 1923, il dessine ce qui allait devenir le drapeau breton moderne : le Gwen ha Du (Blanc et Noir).

En 1931, il fonde avec Ronan Klech et Goulven Mazéas la Ligue fédéraliste de Bretagne, qui publie la revue La Bretagne fédérale, Breiz Kevredel.

Il est initié en franc-maçonnerie, le Ier mai 1938, à la Loge Volney, à Laval. Son parrain y fut Marius Lepage. Il est reçu compagnon le 23 avril 1939.

En 1936, avec Rafig Tullou (druide Neven Lewarc'h) et le comte Francis Bayer du Kern (barde Veroestrumnis), la Breuziez Spered Adnevezi (Fraternité de l'Esprit du Renouveau), professant le néodruidisme et le paganisme pré-chrétien.

Cette Breuriez donne naissance à la Kredenn Geltiek.

Morvan Marchal en est le premier RiDrevon (RoiDruide), proclamé aux Fonts de Barenton, le Ier mai 1937.

Morvan Marchal est décédé à Paris le 14 août 1963. Inhumé le 19 au cimetière de Pantin. (Châteaugiron ?)

Ouvrages consultés : 

- article signé Dressicos, dans la revue druidique Ialon, N° 5,

- le Télégramme. dimanche 30 janvier 2010. page 20. Histoire

- Wikipedia français.

Wikipédia

 

Marche (famille de la) : famille bretonne, originaire de Bédée et de Carentoir, dont l'un des membres, Guillaume de la Marche, a combattu au Combat des Trente du côté du parti de Blois. Blason : "écartelé, portant au 1 et 4 une croix alésée, et au 2 et 3 une croix pattée". Blason en cours de dessin.

Marche (JeanFrançois de la) : évêque de Léon, en Petite Bretagne, de1772 à 1802. Il a succédé à Jean-François d'Andigné de la Chasse. Déposé par la Révolution française, il est décédé en 1806. Il a été le dernier évêque traditionnel de Léon, suivi de Claude André évêque concordataire de Quimper et de Léon.

      Marcia Furnilla : seconde épouse de l'empereur Titus, à qui elle donne une fille : Julia. Marcia est répudiée après la naissance d...
 

Marcianus : fils de l'empereur Anthemius et de Maelia Marcia Euphemia; époux de Leontia, deuxième fille de Léon Ier. Sans descendance connue.

 

Marcien (Flavius Valerius Marcianus) : Empereur d'Orient du vendredi 25 août 450 au samedi 26 janvier 457. De sa première épouse, dont nous ignorons le nom, il a eu une fille: Aelia

 

Marcia Euphemia. Marcien a épousé en secondes noces (mariage blanc) Pulchérie, soeur de l'empereur Théodose II, le vendredi 25 août 450, alors âgée de 51 ans (Fr. Zosso & Ch. Zingg, p 190). Il n'y a pas eu de descendance de cette union.

Euphémie avait épousé Anthemius (Fr. Zosso & Ch. Zingg, p 198). Voir aussi Sidoine Apollinaire. Carmen II, et notes d'A. Loyen.

 

Marcus (Gaius Julius Marcus) : gouverneur romain de la province insulaire Britannia Inferior, vers 213 après JC. M. Ulpio Sacci F. Longino, Belgae : nom de personne figurant sur une inscription, CIL XVI.163.

Mardobe : évêque de Rennes, en Petite Bretagne; Il a succédé en 11096 à Sylvestre (de la Guerche), décédé en 1093; il est décédé luimême en 1123; il a eu pour successeur Rouaud.

Maredudd ab Owain : roi du Deheubarth dès 950, puis de Gwynedd de 986 à 999. Il était fils de Owain ap Hywel Dda, roi du Deheubarth

   

Marguerite de Bourgogne : Fille de *** et de ***. Première épouse d'Arthur de Richemont, futur duc de Bretagne. Elle est décédée en 1442.

   

Marguerite de Bretagne : Fille du duc de Bretagne François Ier et de ***. Épouse du duc François II qui descend, comme elle, du duc Jean IV

   

Marguerite d'Ecosse : Fille de ***. Épouse du duc de Bretagne Conan IV, qui régna de 1156 à 1166. Elle est la mère de la duchesse Constance et la grand-mère du duc Arthur Ier

   

Marguerite de Foix : Fille ***. Seconde épouse du duc François II. Elle est la mère d'Anne de Bretagne et d'Isabeau, sa soeur.

   

Marguerite de Valois : Fille de *** et de ***. Sœur du roi de France Philippe VI qui règne de 1328 à 1350. Épouse de ***; Elle est la mère de Charles de Blois.

    Marie de Champagne : Fille du roi de France Louis VII et d'Aliénor d'Aquitaine. Elle est ainsi demi sœur de Philippe II Auguste. Elle a été la protectrice de Chrétien de Troyes.
   

Marie de Limoges (1260-1291) : Fille de Guy VI le Pieux, vicomte de Limoges, et de Marie de Bourgogne. Première épouse du duc Arthur II.

   

Marguerite de Thouars : fille de Guy, vicomte de Thouars, et de Constance, duchesse de Bretagne. Marguerite devient vicomtesse de Rohan.

 

Marie d'Amnia (Marie l'Arménienne) / Maria Amnia (Maria an Armeniez) : épouse de Constantin VI de Constantinople. Deux enfants en sont issus : Euphrosyne, Irène.

  Marion Dufresne (Marc-Joseph) : né à Saint-Malo en 1724; marin de la Royale; mort en Nouvelle Zélande en 1772.

Marion (Michel)  : armateur breton. Libérateur de Nantes en 1487

https://michelmarion2017.wordpress.com

  Marius (Caius) : général romain; né vers 153 av J.C, près d' Arpinum; se distingue au siège de Numance *(134), promu tribun (119), prêteur (116), consul (107); vainqueur de Jugurtha en 106.; nommé consul pour cinq années consécutives; écrase les Teutons *près d' Aix en 102, puis les Cimbres * près de Verceil en 101.
  Marmohec : Épouse du roi de Bretagne Erispoë, roi de 851 à 857.
 

Mars : dieu romain de la Guerre; fils de Jupiter et de Junon.

Dans le calendrier romain, Mars est l'éponyme du premier mois originel : Marcos, qui dure 31 jours après l'équinoxe de printemps Il est le seul 'mâle' d'origine du calendrier; il y désigne l'Homme sous tous ses aspect : le chef, le

guide, le travailleur, le guerrier, et l'époux ...

Selon la Légende, il est le père de Remus et de Romulus, après avoir eu des relations amoureuses avec la vestale Rhéa Sylvia qui mourut pour cela enterrée vive.

Dans le monde celtique, Mars est identifié au gaulois Ogmios, aux irlandais Ogme et Nuada, aux gallois Gwydyon et Nudd.

MARS :

* Mars Alator : honoré à Barkway, sur la Watling Street (Herefordshire).

* Mars Ledocius Campesium : appellation du dieu mars retrouvée à Colchester; apparemment importée par un Calédonien.

* Mars Lenus : appellation de Mars chez les Trévires;

* Mars Maponius :

* Mars Mediocus Campesium : honoré par un Calédonien à Camulodunum / Colchester. Il semble que ce dieu a été importé à cet endroit par son adorateur lui même.

* Mars Mogetius : Appellation du dieu Mars chez les Bituriges;

* Mars Mullo : Appellation du dieu Mars chez les Andecaves, Cenomanni, Namnetes, Riedones;

* Mars Ocelus Vellaunus : honoré à Venta Silurum / Caerwent; apparenté au dieu mosellan Mars Lenus.

* Mars Rigisamus : originaire d'Aquitaine; honoré à West Coker (Somerset);

(cf. I.A Richmond; Roman Britain; p 195)

* Mars Rigonemetos : "Mars, roi des sanctuaires"; dédicace découverte à Nettleham, Lincolnshire.(cf Rivet & Smith, Placenames of Roman Britain; p 255)

* Mars Vicinnus : Appellation du dieu Mars chez les Riedones; ' Mars de la Rivière Vicenna (Vilaine) ';

Surnoms divers du dieu Mars :

* Bolegasgus : inscription basée sur un surnom du dieu Mars, en Galatie; voir Bolvinnus

* Bolvinnus : cf Rivet & Smith, Placenames of Roman Britain; p 271. dans le cadre de la recherche étymologique du nom Bolvellaunium.

   

Marses : peuple germanique.

   

Martenses : Légion pseudocomitatenses

Un dédoublement de cette légion s'est opérée entre Altrip et Alet ( St Malo) au cours du IVème siècle sans pouvoir préciser plus...(Langouet)

Famille de Martigné : Seigneurs dudit lieu, par. de Martigné-Ferchaud.

Réf. 1440, par. de Rougé, év. de Nantes.

"d'argent à la quintefeuille de gueules"

"en arc'hant e fempdiliaouenn en gwad"

- Yves, fait une donation à l'abbaye de Marmoutiers en 1062;

- Robert, chancelier de Bretagne en 1398.

La branche aînée fondue dans LA GUERCHE, d'où la seigneurie de Martigné est passée successivement aux CHÂTEAUBRIANT, BRIENNE DE BEAUMONT, GAUDIN, DU PERRIER, VILLEBLANCHE, par acquêt MONTMORENCY et par alliance BOURBON-CONDÉ..

   

Martinus (Flavius Martinus ?) : vicaire de l'Ile de Bretagne, vers 353 ?

   

Martinus (Saint Martin de Tours) : évêque de Tours en 372; décédé en 397.

Famille Martin : seigneurs des Hurlières, en Châtillon en Vendelais; des Morandais, de la Cour et de la Garenne, en Soudan. "d'or à trois branches de chêne de sinople, englantés de même" / "en aour e deir barr derv geotet, gant mez ivez geotet"

Gilles, anobli en 1638, conseiller au Parlement de Bretagne en 1647 (PPC)

 

Massignon (Louis) : né à Nogent sur Marne, le 25 juillet 1883; décédé à Paris le 04 novembre 1962, et inhumé à Pordic.

Professeur au Collège de France; orientaliste et oecuméniste. Après s'être intéressé au thème des Sept Saints Dormants d'Ephèse (voir ce nom), il initia le culte islamo-chrétien des Sept Saints au VieuxMarché, près de Plouaret. Un pardon s'y tient tous les ans le dernier dimanche de juillet.

   

Mathias : Comte de Nantes; fils du duc Hoël et neveu duc Alain IV Fergent, qui abandonne le pouvoir en 1115

Mathilde d'Écosse : Épouse du roi d'Angleterre Henri Ier Beauclerc; mère de Mathilde l"Emperesse"

 

Mathilde l'Emperesse : Fille de Henri Ier Beauclerc et de Mathilde d'Écosse. Désignée par lui comme héritière. Ella a été en but à la concurrence de son cousin Etienne de Blois au trône d'Angleterre, ce qui a mené à une guerre civile nommée "Anarchie". Après sa victoire à Lincoln, le 7 avril 1141, où Etienne de Blois est fait prisonnier, elle porte le titre de "Domina Anglorum" = Dame des Anglais,, mais sans être couronnée. Battue à son tour à Winchester le 14 septembre 1141, elle est contrainte de libérer Etienne et d'abandonner la compétition au pouvoir le Ier novembre 1141. 

Mathilde de Flandre : Fille de ***; épouse de Guillaume le Conquérant. Mère de Guillaume II le Roux, roi d'Angleterre de 1067 à 1100, de Hentier Ier Beauclerc, roi d'Angleterre de 1100 à 1135

 

Mathilde de Ringelheim : Fille de ***; épouse d'Henri Ier de Germanie . Mère d'Otton II le Roux.

Mathilde : Fille du roi d'Angleterre Henri Ier Beauclerc. Épouse de Conan III, duc de Bretagne de 1115 à 1148. 

  Mathilde : Fille de *****; épouse de Geoffroy Plantagenêt; ensemble co-régents de Normandie de 1144 à 1151

   

Mathuedoi : début Xè siècle. Comte de Poher, gendre du dernier roi de Bretagne Alain le Grand. Il est le père d'Alain Barbetorte

   

Maximilien d'Autriche : 1459-1519. De la famille des Habsbourg, archiduc d'Autriche, empereur germanique en 1508. Époux de Marie de Bourgogne (décédée en 1482)

 

Pierre Ier Mauclerc

Duc de Bretagne, de 1213 à 1237.

Fils du comte de Dreux, Robert II, et de ***. Il épouse Alix, fille de Guy de Thouars, héritière de la Bretagne. Il entre dans la ligue contre Blanche de Castille, mais, vaincu, est contraint d'abdiquer, et laisse le duché à son fils Jean Ier le Roux.

Pierre Maucler a participé par deux fois aux croisades, en 1240 et 1247. Fait prisonnier avec Louis IX (saint Louis) en Egypte, il meurt en rentrant en Bretagne.

C'est Pierre Mauclerc qui a introduit les hermines dans le blason de Bretagne

   

Maudez (Saint) :

Famille Mauhugean : Seigneurs de Taillepié, par. de Martigné-Ferchaud; de Mainbrault et de l'Epine-Giffart, par. des Forges, de la Jaulnière, par. de Fercé; de la Bourelière, par. de Saint-Herblon.

Réf. et montres de 1427 à 1544, par. de Martigné, Forges et Fercé, év. de Rennes, et Saint-Herblon, év. de Nantes

"d'azur à trois croissants d'or, au chef de même chargé de trois molettes de gueules"

"en glazur e deir greskenn en aour, e gab ivez en aour karget gant teir rodig-kentr en gwad"

- Jean, archer dans une montre de 1356;

- Raoulet, notaire-passe de la cour de la Guerche en 1396;

- Jean, capitaine du trait et maître de l'artillerie en 1475;

- Pierre, son frère, capitaine des francs-archers et élu de l'évêché de Rennes en 175; 

- Jacques, épouse avant 1513, Marie Brochereul, dame de la Jaunière;

- Marie, dame de la Jaunière, vicomtesse de Fercé, épouse en 1605, François d'Appelvoisin.

Famille de Maumillon. originaire du Poitou. non titrée en Bretagne. "d'azur à deux cœurs d'or accolés, accompagnées de trois étoiles de même / en glazur e zaou c'halon kenstag en aour, heuliet gant teir steredenn ivez en aour"

Jacques, conseiller au Parlement de Bretagne en 1569

Julien Maunoir : né à Saint-Georges-de-Reintembault le 1er octobre 1606. Décédé à Plévin le 28 janvier 1683. Jésuite, prêcheur. Qualifié "An Tad Mad" = le Bon Père. Auteur de dictionnaires français / breton et breton / français, en 1659; réédités par Editions Skol, Saint-Brieuc.

Famille de Maure : comte dudit lieu en 1553, par. de Maure; vicomte de Fercé, par. de ce nom; baron de Lohéac, par. de ce nom, sr de Bonaban, par. de ce nom; de Quéhillac, par. de  Bouvron; du Gué-au-Voyer et de la Séneschalière, par. de Saint-Julien-de-Concelles; de Landal, par. de la Boussac, du Plessix-Anger, par. de Lieuron; de la Rigaudière et du Loroux, par. d'Essé; de Landamère; de Sucé; de  Parigné, par. de ce nom; de Saint-Etienne, par. de ce nom; de Montrelais, par. de ce nom; de Lorgeril, par. de Plorec; de la Sourdinais, par. de Dréfféac; des Brieux, par. de Plélan-le-Grand.

Réf. et montres de 1426 :§11513, par. de Maure, Lieuron et Plélan, év. de Saint-Malo.

"De gueules au croissant de vair / En gwad e greskenn vrizhet"

 (Sceau / Siell 1298);

alias / neuz all :

 "à la bordure chargée de onze besants en orle / e vevenn karget gant unnek bezantenn ouzh c'hourem" 

(Sceau / Siell 1420).

- Jean, vivant en 1298,épouse Aliette de Rochefort, dame de Quéhillac;

- Pierre, grand veneur de Bretagne en 1474.

- Renée, gouvernante des Clarisses de Dinan; décédée en 1577; 

- deux chevaliers de l'ordre en 1562 et 1574.

Fondu en 1600 dans Rochechouart, d’où le comté de Maure a passé par acquêt aux ROSNYVINEN.

Maurice (de Trésiguidy) : évêque de Rennes, en Petite Bretagne, de 1259 à 1282; il a succédé à Gilles Ier, et a eu pour successeur Guillaume de la Roche Tanguy.

 

Mauritanni : peuplade d'Afrique du nord-ouest, intégrée à l'empire romain à partir de ***.

Plusieurs unités mauritanniennes de l'armée romaine sont repérées en Occident :

En Île de Bretagne :

Praefectus numerus Maurorum Aurelianorum, Aballava (Burg by Sands), forteresse à l'extrême ouest du mur d'Hadrien sur la Mer d'Irlande, forteresse que de nombreux auteurs identifient à Avallon.

Il est important de rappeler que les Maures ont été, avec les Bretons, les plus fidèles soutiens de Maxime lors de son pronunciamento de 383 et que c'est surtout contre les Maures alliés de Maxime que s'est abattue par la vengeance de Théodose, en 388.

En Gaule :

Praefectus militum Maurorum Benetorum, Benetis (Vannes).

Praefectus militum Osismiacorum, Osismi (Carhaix).

En Espagne :

 

Maximilien II : Roi de Bohême, 1562-1576; roi de Germanie,1562-1576; roi de Hongrie et de Croatie, 1563-1576; archiduc d'Autriche, 1576-1608; empereur des Romains, 1576-1612

 

 

Maximus (Magnus Clemens Maximus) : Maxen Wledig = Maxime chef de la Nation; nom donné par les Gallois à Maxime (Magnus Clemens Maximus). en gallois Gwlad, Wlad = pays, peuple, nation.


* François Zosso & Christian Zinggg : Les Empereurs romains. 27éavb. J.C - 476 ap. J.-C. Éditions Errance. Paris 1994. 


MAXIME

Nom. Magnus Clemens Maximus.

Naissance. Date de naissance inconnue.

Famille. Originaire d’Espagne, il est un parent éloigné et un compagnon d'armes de l'empereur Théodose I.

Portrait. Ses biographes le disent énergique, honnête et bon chrétien.

Mariage. Il aurait épousé Elena, fille d'Eudda, seigneur du Caernarvonshire. Elle lui donne un fils, Victor, que son père nomme d'abord César, puis Auguste.

Cursus. Saint Ambroise prétend qu'il commence sa carrière militaire comme valet de camp. Sous Gratien, Maxime porte le titre de comte. Il commande l'armée de Bretagne. En juin 383, alors que Gratien quitte Milan pour combattre les Alamans en Rhétie, Maxime se fait proclamer empereur par ses soldats à la suite de sa victoire sur les Pictes et les Scots. Il quitte la Bretagne et débarque en Mer du Nord, aux bouches du Rhin. Lorsqu'il se présente à l'armée de Germanie, celle-ci le reconnaît à son tour. Il faut dire que Gratien n'a jamais conquis ses soldats, qu'il leur est toujours demeuré impopulaire. Lorsqu'il apprend le "putsch" de Maxime, Gratien quitte la Rhétie et marche contre Maxime. La rencontre a lieu près de Paris. Mais ce ne sont pas les armes qui décident du sort des deux rivaux, c'est l'armée même de Gratien qui se rallie à Maxime. Gratien n'a que le temps de s'enfuir avec trois cents cavaliers alains qui lui demeurent fidèles. Mais il est rejoint à Lyon et fait prisonnier par le maître de la cavalerie Andragathe, le 15 août. Dix jours plus tard, le 25 août 383, il est décapité.

Dies imperii : Juin 383.

Règne. On ne sait s'il est sincère, mais Maxime désavoue ce meurtre et inhume Gratien à Trèves. Maître de la préfecture des Gaules, son premier objectif est de prendre le contrôle de la seconde préfecture qui constitue l’empire romain d'Occident, la préfecture d'Illyrie aux mains de Valentinien II. Il demande au jeune prince et à sa mère de venir le rejoindre a Trèves. Mais c'est Ambroise qui se rend dans la capitale de la Gaule, en septembre 383. L'évêque de Milan ne tient pas du tout a passer sous l'autorité de cet usurpateur, même s‘il est un bon chrétien. Il lui explique que Valentinien II et sa mère, qui ont quitté Sirmium pour Milan, ne peuvent franchir les Alpes durant l'hiver. Les généraux de Valentinien II ont ainsi le temps de fortifier les cols des Alpes. Maxime comprend alors qu'il a été joué.

Maxime cherche aussi et surtout la reconnaissance de Théodose I, l'empereur d'Orient. C'est une des raisons qui le retient d'attaquer l'Italie. Théodose I exerce, en effet, une sorte de tutelle sur le jeune empereur d'Occident. En juillet 384, Théodose I quitte Constantinople pour l'Italie. Tout le monde pense qu'il part régler le sort de Maxime. Mais ce n’est pas le cas, Théodose I n'est pas prêt pour mener une guerre en Occident. Son armée durement éprouvée par ses campagnes contre les Goths ne peut affronter pour le moment l'armée de Maxime. Il tolère donc sa présence sur le trône impérial d'Occident. Le 31 août 384, a Beroae, une ville du nord de la Thrace, il accepte momentanément que trois Augustes président aux destinées de l'empire : lui-même, Valentinien II et Maxime.

En quittant la Bretagne, Maxime avait emmené avec lui une partie de son armée. Pictes et Scots profitent de l'occasion pour attaquer les troupes demeurées sur l'île. Celles-ci ne parviennent pas à contenir ces barbares derrière le Mur d'Hadrien. Elles doivent l'évacuer. Cette ligne de défense ne sera plus jamais réoccupée.

Comme Maxime a un urgent besoin d'argent pour financer son armée, il réquisitionne les biens, les bijoux et l'argenterie des riches et les vend. Ce moyen expéditif lui aliène peu a peu leur soutien. Sulpice Sévère se fait l'écho de cette chasse au trésor :

"Cet homme, qui était doué de beaucoup de belles qualités, était, dit-on, sans défense contre la cupidité. C'était peut-être nécessité de gouvernement. Le trésor de l'État avait été épuisé par les empereurs précédents, et Maxime vécut presque toujours dams l'attente ou la mêlée des guerres civiles. On peut l'excuser d’avoir saisi toutes les occasions de procurer des ressources à l’Empereur” (Sulpice Sévère, Dialogues sur saint Martin, III, 11).

Catholique fervent, il se conforme aux prescriptions de l'Église. Il persécute même les manichéens et blâme ouvertement, en été 386, Valentinien II pour le soutien qu'il accorde aux ariens. Il punit de mort Priscillien, un évêque espagnol condamne par l'Église pour hérésie. C'est le premier hérétique exécuté par le bras séculier. Saint Martin, le célèbre évêque de Tours, intervient plusieurs fois auprès de Maxime, pour le calmer et sauver la tête de plusieurs condamnes, même hérétiques.

En 387, les barbares qui occupent depuis le désastre d'Andrinople, en 378, la Pannonie, menacent l'Italie. Valentinien II qui n'a pas de forces armées suffisantes pour leur faire face, se voit contraint de demander à Maxime l'envoi de soldats. Celui-ci répond favorablement à cette demande. Il met à disposition de l'ambassadeur de Valentinien II quelques troupes. Mais ce qu’il ne dit pas, c'est que lui-même suit avec le gros de son armée. Par les cols des Alpes Cottiennes, il passe en Italie et marche sur Milan. Valentinien II n'a que le temps de fuir par mer à Thessalonique, en Orient. Maxime prend alors possession de toute l'Italie et se fait reconnaître par le Sénat de Rome. Si les provinces d'Afrique se rallient sous son nom, Maxime, qui ne cesse de reconnaître Valentinien II comme collègue, ne lui enlève cependant pas l'Illyrie, peut-être pour laisser à Théodose I le soin de la rattacher à son domaine en compensation de son acceptation de la nouvelle situation de fait en Occident.

En 387, Théodose I, qui n'a jamais accepté cette usurpation, mais qui l'a tolérée parce qu'il n'avait pas les moyens de l'éliminer, est enfin prêt pour s'en occuper. Maxime, qui ne se fait guère d‘illusion sur les intentions profondes de l'empereur d'Orient, est aussi prêt pour l'affronter. Il confie la Gaule à son fils Victor qu'il proclame Auguste. Il place sous ses ordres les généraux Quintinus et Nannienus qu'il charge de la défense du Rhin. Puis il part à la rencontre de Théodose I. Il entre en Slovénie et pousse jusqu'à Siscia sur la Save.

En juin 388, Théodose I quitte Thessalonique ou il est venu rendre visite à Valentinien II et tomber amoureux de sa sœur Galla.

Il fait embarquer sur ses navires le jeune empereur, devenu son beau-frère. Il veut qu'il regagne l'Italie. Andragathe, le meurtrier de Gratien, promu commandant de la flotte de Maxime, ne réussit pas à intercepter Valentinien II qui débarque en Sicile d'abord, puis à Ostie.

Pendant ce temps, Théodose I réussit a forcer le passage de la Save a Siscia, et inflige une sévère défaite a Maxime a Poetovio. Ce dernier n'a d'autre solution que de faire retraite sur Aquilée. Théodose I, après avoir fait une entrée triomphale à Emona (Ljubljana), franchit, à son tour, les Alpes Juliennes, et bloque Maxime dans Aquilée. Il ne reste des lors à celui-ci qu’à se livrer à la générosité de son vainqueur. Dépouillé des ornements impériaux, du diadème, de la robe et des sandales pourpres, il est présenté à Théodose I qui est prêt a lui pardonner l'assassinat de Gratien et son usurpation. Mais ses soldats refusent et le décapitent, le 28 août 388. Théodose I ordonne que sa tête soit exposée à Carthage après avoir été présentée clans diverses provinces. Andragathe préfère échapper au courroux de Théodose I en se suicidant. La Gaule fait soumission vers la fin de l'année. Victor, le fils de Maxime, est, lui aussi, exécuté.

Dixit

Pacatus, dans son Panégyrique de Théodose I, brosse un tableau saisissant de Maxime assistant à la pesée des biens qu'il a confisqués :

"II assistait en personne, revêtu de la pourpre, et, pale et avide, il surveillait les oscillations des poids et des aiguilles des balances. On étalait devant lui le butin enlevé aux provinces, les dépouilles confisquées aux exilés, les biens saisis aux victimes. A un endroit, on pesait l'or arraché aux mains des matrones ; à an autre, les bulles enlevées an cou des pupilles, à un troisième, l'argenterie encore tachée du sang de ses propriétaires. Partout on comptait les pièces d'argent. On remplissait les cassettes du prince, an entassait les monnaies, on brisait les vases précieux; qui eût vu ce spectacle, se serait cru non pas dans le palais d'un prince, mais dans le repaire d'un voleur" (Pacatus, Panégyrique de Théodose).

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Notes J.-C. Even : 

- auguste = empereur; césar = vice empereur;

- Bouches du Rhin : terme désignant en fait le système de marées de la Manche Est, de Honfleur à l'embouchure du Rhin. Le lieu de débarquement est Saint-Valery-sur-Somme, appelé à cette époque là Leuconos. (Voir  étude : Genèse de la Bretagne armoricaine)

- Dies imperii : jour de proclamation officielle et de prise de fonction.

- mardi 15 août 383; vendredi 25 août 383; samedi 31 août 384;  lundi 28 août 388

- Sirmium : Sirmich / Mitrovitz / Mitrovica, en Kosovo

- Beroae, en Thrace, ou Macédoine : 

- Siscia : Osijek

- Poetovio : Ptuj

- Emona : Ljubljana

- Aquilea : Aquilée, au fond du golfe adriatique.

    Maximus (?) : un personnage de ce nom semble avoir été gouverneur romain de la province Britannia Inferior, vers 225 après JC.
    Maximus : préfet sous le règne de Marc-Aurèle; il fait la connaissance de deux officiers, deux frères, Tiburtius et Valerianus (époux de Cécilia, une chrétienne), qui sont chrétiens; ils parviennent à convaincre Maximus de se convertir; ils sont arrêtés et exécutés tous les trois ensemble un 14 avril, vers 177 après JC.

Famille de Mayenne :

Medeios, archontes d'Athènes, en -101; en -91-90-89 (le même);

   

Méheut (Mathurin) : peintre breton. Né à Lamballe, le 1882; décédé à Paris en 1958.

     

Meirion, ou Meriaun : fils de Tybion, lui-même fils de Cunedda; Meirion a reçu en apanage le pays qui porte encore aujourd'hui son nom : le Meirionydd.

     

Mela (Pomponius) :

cf DUHG : " géographe romain, vivait, à ce qu'on croit, en Espagne sous Tibère et Claude; quelques uns conjecturent qu'il était de la famille de Sénèque. il écrivit vers l'an 43 un traité de géographie, De situ orbis, en 3 livres, qui nous est parvenu, et qui est une des sources les plus précieuse pour la géographie ancienne. il y a employé la plupart des travaux faits par ses prédécesseurs, mais il ne les a pas toujours fondus avec assez de discernement. Les meilleures éditions de Pomponius Méla sont celles de Jacques et Abraham Gronovius, 1696 et 1722, cum notis variorum, et de Tzuschucke, 7 vol. in8, Leipsick,1806. Il a été publié avec trad. fr. par M. Fradin, 1806, 3 v. in8, et par M. Baudet, 1843"

     

Melaine (saint) : évêque (gallo-romain) de Rennes, en Petite Bretagne, de 505 ? à 530 ? . Il a succédé à saint Amand, et a eu pour successeur Fébédiolus II.

Meldroc / Meldéoc (saint) : évêque de Vannes, en Petite Bretagne, au VIè ou VIIè siècle; il aurait succédé à saint Mériadec, et aurait eu pour successeur Haimon.

  Mellitus : nommé évêque des East-Saxons par Saint Augustin en 604, en même temps que Justus; il reçoit du roi saxon d'Essex, Saeberth, le siège épiscopal de Londres.

  Melvas : roi de Glastonia / Glastonbury, à l'époque du roi Arthur et de St Gildas . Il aurait enlevé et violé Guenièvre.

Menedemos, archontes d'Athènes, en -179; en -92

Menekles, archonte d'Athènes en - 267

Menekates, archonte d'Athènes en -220

Menoites, archonte d'Athènes en -117

Menon, archonte d'Athènes en -473

Mercoeur (1558-1602) : Beau-frère du roi Henri III; gouverneur de Bretagne; ligueur qui ne céda devant le roi Henri IV qu'en 1598, au moment de la signature de l'Édit de Nantes

 

Mercure / Mercurius :

honoré à Lindum / Lincoln;

honoré à *** / Birrens

honoré à *** Gosbecks

Mercure / Mercurius : dieu **;

Mercure est l'éponyme de :

Mercure est le "protecteur" des Marchands, et des Voleurs.

Mercure Atepomarus : Appellation du dieu Mercure chez ***

Mercurio Deo Andescocivouco : Colchester. RIB 193.

 

Merfyn ab Gwriad : Roi du Gwynedd de 825 da 844. Il a succédé à Hywel Fychan; et a eu pour successeur son fils Thodri. Il était fils de Gwriad ab Elidir et d' Esyllt ferch Gynan

Mériadec (saint) : évêque de Vannes, en Petite Bretagne, au VIè ou VIIè siècle; il aurait succédé à saint Hinguéthen, et aurait eu pour successeur saint Meldroc (Meldéoc)

Famille Merien : Seigneurs de Kerisac, en Plouisy; de Merchonnec, en Plouaret; de Kerambartz en Plouégat-Guerrand.

"d'or au sanglier passant de sable" / "en aour e hoc'h-gouez tremenant en sabel" (PPC)

 

Merlinus : Personnage important des Romans arthuriens; selon la Légende, il est fils du Diable et d'une orpheline; par sa piété, il devient l'Enchanteur, qui sert les rois chrétiens.

Du point de vue strictement historique, on peut dire qu'il est né vers l'an 450 (il était âgé de 24-25 ans au moment de la Bataille de Carohaise, le mercredi Ier mai 474).

***

Plusieurs étymologies ont été proposées pour tenter d'expliquer le nom de Merlin.

* Ronan Coghlan, The Illustrated Encyclopaedia of Arthurian Legends, 1993, p. 176 : "(In welsh : Myrddin, Latinized as Merlinus because the more natural Merdinus would have connected it with Latin merdus, "dung")

* Comité du Roi Morvan. Échange Facebook du début avril 2024 : "... nous pensons pouvoir trancher sur la base du terme breton celtique "marz" traduisant les termes "merveille, prodige, miracle si les linguistes bretons valident la traduction. Le terme se rattacherait aux "marses"' de l'antiquité connus pour être des enchanteurs de serpents (!) devins, guérisseurs et savants dans l'esprit des druides ... voire prêtres d'origine indo-européenne. Ce qui n'exclut pas que le terme Martin, de St Martin ait la même origine sémantiquement. Résolu, à notre avis".

 

Metrophanes, archonte d'Athènes en -145

Jean Meschinot : né en 1420 au domaine des Mortiers en Monnières, dans le pays de Clisson; décédé à Nantes (?) le 12 septembre 1491, et enterré au couvent des Carmes, à Nantes. Militaire, et poète de la cour de Bretagne.

Joseph-Michel-Jean-Baptiste-Paul-Augustin Micolon de Guérines  : évêque de Nantes, de 15.02.1822 à 12.05.1838.

 

René-Pierre Mignen: évêque de Montpellier le 3 août 1922; archevêque de Rennes le 18 juillet 1931; décédé le Ier novembre 1930.

Julien Offroy de la Mettrie : médecin; philosophe matérialiste; né à Saint-Malo, en 1709; décédé à Berlin en 1751; ami de Frédéric II de Prusse; il étudia la médecine à Leyde; médecin des gardes françaises, en 1742.

 

Patrick May : hagiographe breton; né à Brest en en 1938; décédé à Barcelone, 1996. Il a écrit : "Saint Patrcik nouveau druide ou apôtre éclairé ?" Publication : Coop Breizh. 1997.

Famille Le Mignot  : Seigneurs du Launay, en Ploubezre; de Goazhamon.

Réf. et montres de 1427 à 1543, paroisse de Ploubezre, évêché de Tréguier

D'argent au sautoir de gueules

En arc'hant e lammell en gwad

alias / neuz all :

... accompagné de trois trèfles d'azur; au chef de gueules

... heuliet gant teir melchonenn en glazur, e gab en gwad

- Pierre, représentait le comte de Montfort aux conférences de Poitiers en 1364.

Mikion (?), archonte d'Athènes en -148

Mikon : archonte d'Athènes en -403

Mil (Fils de) : nom donné à une vague celtique en Irlande, par Nennius et le Livre des Conquêtes.

    Miliau (Saint) :

    Miliucc : druide irlandais, maître de Patrick (le futur St Patrick) quand celui-ci fut capturé et emmené en esclavage.

 

Miltiade : archonte d'Athènes en -524

Famille Milon :  Texte de Pol Potier de Courcy; adaptations mineures et traduction bretonne par J.-C. Even

MILON, sr de Beaumanoir, par. de Pommeret; de la Ville-Morel, de Launay et de la Garenne, par. de Broons; de la Plesse, par. de Sainte-Urielle (?); de Bellevue; de Kerjean; de Keryvon; de Kernyzan.

Anc. ext., réf. 1669, six gén., ress. de Lesneven; réf. et montres de 1437 à 1513, par. de Pommeret, Broons, Sainte-Urielle et Ploudaniel, év. de Saint-Brieuc, Saint-Malo, Dol et Léon.

"D'azur à trois têtes de lévrier, coupées d’argent, colletées de gueules"

"En glazur e zri fenn levran, diframmet en arc'hant, gwakoliet en gwad"

 (Sceau / Siell 1400).

- Jean et Olive sa compagne, de la par. de Sévignac, font un échange avec l'abbaye de Boquen en 1274

- Olivier, possessionné dans la paroisse de Pommeret en 1320;

- Etienne, ratifie le traité de Guérande à Dinan en 1381 ;

- Thomas, fait hommage au vicomte de Rohan entre les nobles de Loudéac en 1396;

- Olivier, prête serment au duc entre les nobles de Montcontour en 1437; (Moncontour)

- Bertrand, sénéchal de Rennes, puis président et juge universel de Bretagne en 1439

- Yves, chevalier de Saint-Jean-de-Jérusalem, au nombre des défenseurs de Rhodes, assiégé par Mahomet II en 1480

- Jeanne, Guillemette et autre Jeanne, abbesses de Saint-Sulpice de Rennes, de 1391 à 1498;

- Guillaume, abbé de Saint-Jacut, décédé en 1461

- Etienne, abbé de Saint-Jacut, décédé en 1498.

- Yvon, vivant en 1443, auteur de la branche de Kerjean, bisaïeul de Jean, marié vers 1531 à Marguerite de Pentreff.

Les srs de Penanster et de Villeroy , de méme nom et armes, alliés aux d'ESPINOSE , aux RADO DU MATZ et aux LE CHAUFF, ont produit un avocat au parlement en 1666 et un maire du Croizic en 1789.

 

Minerve / Minerva : déesse romaine; fille de Jupiter, sans avoir été enfantée par une femme; Minerve est sortie toute armée du crâne de son père.

La symbolique de sa naissance est soit celle d'une éruption volcanique avec retombées de bombes, soit celle de la chute d'une (ou de plusieurs) météorite(s), les deux thèmes ayant pour résultat des pierres noires fichées dans le sol à la verticale, d'où le nom Pallas = pal, pilier. (en breton peulven < peulmaen).

Son nom signifie : la Déesse de pierre.

Dans le monde celtique, elle est identifiée à Brigantia, Belisama, Brigit, Etain, Boand, Tailtiu, Arianrhoiod, Modron; elle y tient le rôle de la femme universelle : mère, épouse, soeur, et fille des dieux.

Honorée un peu partout en Ile de Bretagne romaine, aussi bien dans les capitales de cités (Noviomagus / Chichester), les colonies, que dans les forts ou les forteresses (Deva / Chester) (cf. I.A Richmond; Roman Britain; notes, p 236). Elle reçoit un hommage particulier à Aquae Sulis / Aquae Minerva / Bath, la ville de bains Nec plus Ultra de Bretagne.

 

Mithra : divinité d'origine orientale ***

Mnesidemos, archonte d'Athènes en -298

Mnesilochos, archonte d'Athènes avec Theopompos en -411

 

Mnesitheides, archonte d'Athènes en -457

Mnesitheos, archonte d'Athènes en -155

François Moal. Historien breton; né à Sibiril en 1945. Auteur de plusieurs ouvrages sur Carhaix et sa région du Poher.

  Mocholmoc : personnage issu de Clonard, en Irlande; se fait dépouiller de son attelage par Aed Rin (cf Ch. Kerboul, Gildas, Lorica); en attente.

Moderan (saint) : évêque gallo-romain de Rennes, en Petite Bretagne. Il aurait succédé à saint Didier, et aurait eu pour successeur Warnarius.

Modeste : 4è évêque de Vannes, en Petite Bretagne, attesté au Concile d'Orléans, en 511. Il aurait succédé à saint Clément, et aurait eu pour successeur saint Armand.

  Modron : l'un des noms gallois de la Grande Déesse;  
 

Mogons : divinité originaire du Rhin intermédiaire, introduite en Ile de Bretagne, à *** / Risingham (Northumberland) par les Vangiones. (cf. I.A Richmond; Roman Britain; p 205)

 

?

Michel Mohrt : Successivement avocat, professeur, romancier. Admis à l'Académie française le 18 avril 1985, au fauteuil de Marcel Brion. Né à Morlaix le 18 avril 1914; décédé à Neuilly-sur-seine le 17 août 2011.

 

Famille Le Moine / Familh ar Manac'h : (Texte de Pol Potier de Courcy; adaptations mineures et traduction bretonne par J.-C. Even)

MOINE (LE), en breton MANACH (LE), sr de Trévigny, de Langouneau et de Kermoné, par. de Plounéour-Trez; de Ranorgat et de Guiquerneau, par. de Plouguerneau; du Vieux-Châtel et de Coëttrez, par. de Ploudaniel; de Kermérien, par. de Trézilidé; de  Coëtudavel, par. de Mespaul; de Trogriffon, par. d’Henvic; de Kerfaven, par. de Ploudiry;  de Crec’hrizien, par. de Plougoulm; vicomte de Plestin et de Lesmais, par. de Plestin; sr de Trobézéden, par. de Lanmeur; de Kergoët, par. de Saint-Hernin.

Anc. ext. chev., réf. 1671, quatorze gén., réf. et montres de 1426 à 1534, par. de Plounéour-Trez, Plouguerneau, Ploudaniel, Ploudiry et Henvic, év. de Léon.

D’argent à trois coquilles de gueules

En arc'hant e deir c'hregilhenn en gwad

alias: accompagné en cœur d’une macle de méme / heuliet ouzh kondon gant ur vailhenn ivez en gwad (Sceau / Siell 1382)

- Pierre, croisé en 1248 (cab. Courtois); mais nous ne savons à laquelle des familles le Moine il appartenait;

- Hamon, fils Yvon, épouse vers 1330, Plézou, dame de Trévigny; 

- Yvon, prête serment au comte de Montfort en 1369 et épouse 1° Constance de Penmarc’h; 2° Mahaud de la Fosse;

- Jean, tué au siége de Carthage en 1390;

- Olivier, chambellan du duc et grand écuyer de Bretagne, capitaine de Brest, Quilbignon et Lesneven de 1378 à 1420;

- Hervé, capitaine de Bayonne en 1485 et de Guingamp en 1492;

- Vincent, chevalier de I'ordre du Roi et capitaine de cinquante hommes d’armes en 1615;

- Toussaint, gouverneur de Dinan en 1646;

- PhiIippe-Emmanuel, chevalier de Malte en 1666.

La branche aînée s’est éteinte vers 1700,et les seigneuries de Trévigny et de Lesmais ont été possédées depuis par les la Bourdonnaye et les Camus de la  Guibourgére.

La branche de Kergoët s'est fondue à la fin du XVIIè siècle dans Saint-Simon, en Normandie, d’où la seigneurie de Kergoët a appartenu successivement aux COURCY, aux KERGUS et aux ROQUEFEUIL. (Famille éteinte.)

 

Famille Moine de la Tour / Familh Moine an Tour : "fascé de huit pièces d'or et de sable / treustellet a eizh pezh en aour hag e sabel"

 
 

Famille Moisan de Kerbino / Familh Moazan Kerbino : "bandé, ondé d'hermine et de gueules de six pièces"

 
 

Famille de Moisant : "d'azur, à trois croix d'or / e glazur, e deir groaz en aour"

 
 

Gabriel de Montgomery  :

* M.N Bouillet (DUHG, 1863) : "fils de Jacques de Lorges, était capitaine de la garde écossaise de Henri II et vivait dans la familiarité de ce prince. Invité par le roi à rompre une lance avec lui dans un tournoi que donnait ce prince en 1559, il le frappa si rudement qu'il lui traversa la tête avec le tronçon de sa lance, et fut ainsi la cause involontaire de sa mort. Il se retira de la cour après ce malheureux évènement, emportant la haine de la reine Catherine de Médicis, et se réfugia en Angleterre. Dans sa retraite il embrassa les opinions des Réformés, et lorsque éclatèrent les guerres de religion (1562), il devint un des chefs les plus redoutables des Protestants. Il défendit Rouen contre l'armée royale, et remporta plusieurs avantages sur les Catholiques, notamment dans le Béarn. Il fut condamné à mort par le parlement de Paris et exécuté en effigie; mais il fut gracié lors de la paix de Saint-Germain. il n'échappa que par une prompte fuite au massacre de la Saint-Barthélemy (1572), secourut La Rochelle (1573), fit des prodiges de valeur en Normandie; mais attaqué dans Domfront par le maréchal Matignon avec des forces bien supérieures, il fut forcé de se rendre et stipula qu'il aurait la vie sauve. Au mépris de cette capitulation, Catherine de Médicis, alors régente, le fit juger par des commissaires qui le condamnèrent à mort. Il subit le supplice avec courage en 1574".

 
  Monmouth (Geoffroy de) :

 

 

Famille de Montauban : Texte de Pol Potier de Courcy. Adaptations mineures et traduction bretonne par J.-C. Even

Montauban (de) : Ramage de Rohan, sr dudit lieu, par. de ce nom, vicomte du Bois-de-la-Roche en 1510, par. de Néant; sr de Landal, par. de la Boussac;  de Binio, du Boisbasset, de Vauvert; de Sens (de Bretagne), par. de ce nom, de Romilly, de Marigny, de Grenonville et de Quenneville en Normandie; de Saint-Brice, par. de ce nom; de la Sucraye, par. de Saint-Ouen (des Alleux); du Goust, par. de Malville; du Port-Durand et de la Verrière, par. de Saint-Donatien; des Perrines, par. de Doulon; de Rochefort-sur-Sèvre, par. de la Haie-Fouassiére.

Réf. et montres de 1426 à 1544, par. de Néant, év. de Saint-Malo, Sens, Saint-Brice et Saint-Ouen-des-Alleux, év. de Rennes, et la Haie-Fouassière, év. de Nantes.

De gueules à sept macles d’or; 3. 3 et 1; au lambel de quatre pendants d’argent 

En gwad e seizh vailhenn en aour, 3, 3, 1; e zrailhenn e beder bastell en arc'hant

(Sceau / Siell 1314)

- Alain de Rohan, sire de Montauban, vivant en 1150, père de Josselin, marié à Mabille de Montfort, dont : 

-- 1° Olivier, qui garda le nom de Montauban et qui a continué le filiation;

-- 2° Josselin, évêque de Rennes, décédé en 1234; 

- Jean, prit les armes en 1202, pour venger la mort du duc Artur; 

- Guillaume, l'un des écuyers du combat des Trente en 1350; 

- Guillaume, chancelier de la reine Isabeau de Bavière, marié en 1414 à Bonne Visconti, dite de Milan

- Artur, trempa dans le meurtre du prince Gilles de Bretagne en 1450, se fit moine pour éviter les poursuites du duc Pierre II, et mourut archevêque de Bordeaux en 1478; 

- Jean, maréchal de Bretagne, grand-maître des eaux et forêts, puis amiral de France sous Louis XI en 1461, décédé en 1466, laissa d’Anne de Keranraiz : 

-- Marie, dame de Montauban, mariée en 1443 à Louis de Rohan, sr de Guémené; 

-- Philippe, chancelier de Bretagne, décédé en 1516, père de Catherine, dame du Bois-de-la-Roche, mariée vers 1535 à René de Voivire, baron de Ruffec, d’ou la vicomté du Bois-de-la-Roche a passé successivement aux L'OLIVIER DE SAINT-MAUR, SAINT-PERN et MAGON DE LA BALUE

- Jean de Montauban de Landal : Maréchal de Bretagne en 1447, amiral et grand maître des Eaux et Forêts de France en 1461; décédé en 1466. 

- Philippe de Montauban : Fils du maréchal de Bretagne Jean de Montauban.  Le duc François II le nomme gouverneur de Rennes, et chancelier de Bretagne. "Ce seigneur et le comte de Comminges dirigèrent les démarches de la reine Anne, après la mort de son père, et empêchèrent le mariage de cette princesse avec le sire d'Albret. Lorsqu'il fut question de faire la paix en Bretagne, et de faire consentir la duchesse à épouser le roi Charles VIII, Philippe de Montauban fut le seul qui pût la résoudre à conclure cette alliance, pour laquelle elle avait peine à consentir. Après ce mariage si désiré, le roi Charles VIII employa Philippe dans les charges les plus importantes; et lorsqu'il supprima la place de chancelier de Bretagne, il lui donna le titre de gouverneur et de garde de la chancellerie de la province". cf Ogée, &779, T. 2, p. 240

Arthur de Montauban : archevêque de Bordeaux, de 1467 à 1478; décédé à Paris  en 1478

Jean de Montauban : évêque de Rennes, de 1223 à 1235

Famille Montbourcher :  Texte de Pol Potier de Courcy; adaptations mineures et traduction bretonne par J.-C. Even


MONTBOURCHER (DE) (ramage de Vitré), sr dudit lieu, par. de Vignoc; de Tizé, par. de Thorigné; du Pinel, par. d'Argentré; marquis du Bordage en 1656 et sr de  1’Estourbeillonnaye, par. d’Ercé, près Gosné; de la Maignanne, par. d’Andouillé; du Plessix-Pillet, par. de Dourdain; de la Rossignolière, par. de Pacé; de Champagné, par. de Gévezé; de Saint-Gilles; du Bois-Chambell, de la Tourniole, par. de Saint-Suliac; de la Vigne, par. de Plurien; de Tréméreuc, par. de ce nom; de la Haye-d'Iré, par. de Saint-Rémy-du-Plain; du Plessix, par. de Vern; de Chasné, par. de ce nom; de la Roche, par. de Cuguen; de Sérigné, par. de la Bouéxière; de Saint-Amadour; de la Corbière.

Anc. ext chev., réf.1671, treize gén.; réf. de 1427 à 1513, par. de Vignoc, Ercé, Argentré, Dourdain, Pacé, Vern et Cuguen, év. de Rennes et Dol.

D’or à trois channes ou marmites de gueules

En aour e zei per en gwad

(Sceau / Siell 1357); alias: d'or semé de tourteaux (alias: de fleurs de lys) d'azur (Sceau / Siell 1352). en aour hadet gant torzhelloù ( alias : floudiliz) en glazur  

Devise / Sturienn : Assez d’amis, quand elles sont pleines.

- Simon et Guillaume, père et fils, témoins dans un accord entre le duc et Raoul de Fougères en 1170;

- Geoffroi, fils de Guillaume, croisé en 1248 (cab. Courtois), épouse Tiphaine de Tinténiac, dont :

-- 1° Guillaume, sire de Monbourcher, marié a Asseline, dame du Pinel; 

-- 2° Renaud, sr du Bordage, marié: 1° a Jeanne de Saint-Brice, 2° à Catherine de Coésmes.

Cette famille a encore produit: 

- Jean, capitaine de Nantes et sénéchal du Limousin en 1300; 

- Bertrand, grand écuyer de Bretagne en 1400; 

- Renaud, capitaine de Rennes en 1532;

- trois chevaliers de l'ordre de 1569 à 1609;

- un maréchal de camp, tué devant Philisbourg en 1688; 

- un président aux enquêtes en 1707,

- un président à mortier en 1738.

La branche aînée fondue en 1699 dans FRANQUETOT DE COIGNY; la branche de la Tourniole fondue dans GUÉMADEUC; la branche du Plessix-Pillet fondue dans BOUAN; la branche de la Maignanne, dernière du nom, éteinte en 1848 et fondue dans HAY des NÉTUMIERES.

  Famille de Montholon : (en attente)

- François, conseiller aux Grands-Jours de Bretagne en 1530, puis garde des sceaux en 1542.

Jean Montigny : évêque de Léon, en Petite Bretagne, en 1671. Il a succédé à François de Visdelou, et a été remplacé, l'année même de son élection (suite à son décès ?), par Pierre Le Neboux de la Brosse.
Famille Montjean : Originaire d'Anjou; seigneurs dudit lieu; de Besson; de Vern; de Cholet; de Boullet, en Feins; vicomtes de la Bellière, en Pleudihen; barons de Combourg

- Rolland et Guy, son frère, croisés en 1158;

- Briant, échanson de France en 1350, dont 

- René, maréchal de Fra,nce en 1538.

Fondé dans Acigné, puis Cossé-Brissac

 

Montmorin de Saint-Hérem (comte de ) : assassiné le 2 septembre 1792 à la prison de l'Abbaye, à Paris.

Famille de Montrelais :  Texte de Pol Potier de Courcy; adaptations mineures et traduction bretonne par J.-C. Even

MONTRELAIS (DE), sr dudit lieu, par. de ce nom; de Château-Thébaut, par. de ce nom; du Gué-du-Voyer et de la Sénéchallière, par. de Saint-Julien-dc-Concelles.

D'or à trois jumelles d'azur en bandes

En aour e deir eilenn en glazur sourinet

(Sceau / Siell 1218); 

alias / neuz all : 

Chevronné d’or et d’azur, à la fasce de méme, brochante sur le tout

Kebrennet etre aour ha glazur, e dreustell ivez en glazur, balirant

(Sceau / Siell 1241).

- Guérin, dit Ie Borgne, époux de Stella, fait une fondation aux moines de Pontron, en partant pour la croisade en 1Z’|8;

- Jean, évêque de Vannes, puis de Nantes, mort en 1391;

- Hugues, évêque de Tréguier, puis de Saint-Brieuc et cardinal, chancelier du duc Jean IV, mort en 1390.

Fondu dans Châteaubriant puis Anger, Maure et Rochechouart, d’où la seigneurie de Montrelais a passé par acquêt aux   Lesrat et de ces derniers aussi par acquêt aux Cornulier en 1686.

Mordret : fils adoptif d'Arthur.

Morgane / Morgause : personnage des romans arthuriens. Fille de Gorlois de Cornouailles et d'Ygerne. Sœur de Morgause et d'Elaine. Demi sœur utérine d'Arthur.

* Morgheten : évêque supposé de Cornouaille, en Petite Bretagne. Successeur de Harnguethen, et suivi lui même de Tremerin.

 

Morini : peuple de Gaule belgique, ayant une façade sur

la Manche et une autre sur le Pas de Calais. villes :

Gesoriacum-Bononia / Boulogne sur Mer,

Tervanna / Thérouanne,

la Notitia Dignitatum (document de la fin du IVè et du début du Vè siècles) nous cite plusieurs unités militaires :

:ND XL52 : tribunus cohortis primae Morinorum, Glanniventa ( > le fort romain de Ravenglass, en Muncaster, Cumberland, GB)

Mormaers : système de grands gouverneurs issus des familles nobles écossaises mis en place par Constantin II (900-943)

 

Morte d'Arthur : Roman de chevalerie composé par Sir Thomas Malory, et imprimé pour la première fois en 1485 par les Presses de Caxton.

 

Mortimer : deuxième fils de Vortigern; il prend la tête de l'armée britto-romaine contre les Jutes après le désastre d'Aylesford, en 455; mais il est écrasé à son tour à Crayford en 456/57 (ASC); replié dans Londres, il y meurt empoisonné sur complot de la seconde épouse de son père, la fille du chef Jute Hengist; Mortimer a été inhumé à Londres.

 

 

 

Morvan : Chef (roi ?) breton, ennemi des Carolingiens, probablement installé dans la région de Quimper. Vaincu par des guerriers de l'empereur Louis le Pieux. (vers 818)

Morvan : évêque de Vannes, en Petite Bretagne, au VIIè siècle; Il aurait succédé à Mabon, et aurait eu pour successeur saint Gobrien.

Morvan (II) : évêque de Vannes, en Petite Bretagne, de 1085 environ, jusqu'à 1128; Il a succédé à Maengi de Porhoët, et a eu pour successeur Jacques.

   

les Frères Morvan : groupe de trois frères chanteurs traditionnels bretons, de Saint-Nicodème, en haute Cornouaille (canton de Callac-de-Bretagne) : François, Henri, Yvon. (Page spéciale en cours de construction)

Morychides, archonte d'Athènes en -440

Famille de la Motte : Texte de Pol Potier de Courcy; adaptations mineures et traduction bretonne par J.-C. Even

MOTTE (DE LA), s‘ dudit lieu et du Breil, par. de Loutehel; de Vauclair, par de  Plémy; vicomte de Maugremieux, par. de Guégon; de la Ville-Jouhan, par. de la Bouillie; de l'Orfeil, par. de Saint-Vran; de la Villegast, par. de Vern; de Montafilant, par. de Corseul; de la Hunaudaye, par. de Plédéliac, de Launay-Guéguen, par. de Laurenan; dc Bodiffé et de Kerdreuz, par. de Plémet; de Cargouét, par. de Meslin; du Boisbriant, par. de Saint-Jean de Béré; de Longlée, par. de Visseiche.

Anc. ext., réf.1668, huit gén.; réf. et montres de 1442 à 1535, par. de Loutehel, Plémy, la Bouillie, Laurenan et Plémet év. de Saint-Malo et Saint-Brieuc et Visseiche, év .de Rennes.

"De gueules à trois bandes engreslées d'argent"

"En gwad e deir sourin goñchek en arc'hant"

(Sceau / Siell 1381 )

- Geoffroi, ratifie le traité de Guérande en 1381 ;

- Robert, évêque de Saint-Malo, décédé en 1423;

- Robert, évêque de Vannes, puis de Saint-Malo, décédé en 1434;

- Jean, abbé de Boquen et de Saint-Gildas de Rhuis, décédé en 1537;

- Guyon, seigneur de VaucIair, député en cour de Rome en 1459, épouse en 1433 Louise de Montauban;

- Jean, fils Eon, vivant en 1440, marié à Françoise de la Chasse, est l'auteur des seigneurs de Kerdreuz; 

- un chevalier de 1'ordre en 1580.

La branche aînée fondue en 1369 dans LAMBILLY; la branche de Vauclair fondue en 1600 dans les ROSMADEC, qui ont transmis aux Rieux les seigneuries de VAULA1R, de MONTAFILANT et de LA HUNAUDAYE.

La branche de Maugrémieux fondue en 1543 dans LE SENECHAL DE CARCADO, d’ou la vicomté de Maugremieux est passée successivement aux MORO puis aux BONIN DE LAVILLEBOUGUAYE.

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- Antoine de la Motte de l'Onglée, chevalier breton de l'ordre de Malte en 1556

- Guillaume de la Motte de l'Onglée, chevalier breton de l'ordre de Malte en 1560

 

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Alain de la Motte : Vice-amiral de Bretagne en 1472. (le peu de précision ne permet pas de rattacher Alain de la Motte à l'une des vingt familles de ce nom en Bretagne.

 

Henri de la Motte-Houdancourt  : évêque de Rennes, en Petite Bretagne, de 1639 à 1661; il a succédé à Pierre Cornulier, et a eu pour successeur Charles de la Vieuville. Henri de la Motte-Houdancourt a été transféré à Auch en 1661.

   

Toussaint-Guillaume Picquet de la Motte la : Marin. Né à Rennes, en 1720. Mort à ***, en 1791. Batailles : La Martinique, contre les Anglais, 1781; Ouessant, 1778; FortRoyal, 1779, etc. En 1781, il est lieutenant général des armées navales.

 

Jean de la Mouche : évêque de Dol de Bretagne, de 1191 à 1201. C'est sous son épiscopat que le siège archiépiscopal de Dol a été réintégré à celui de Tours.

Famille du Moulinet : Texte de Pol Potier de Courcy. Adaptations mineures et traduction bretonne par J.-C. Even

Originaire du Perche.

"d'argent à trois anilles de sable"

" en arc'hant e deir branell en sabel"

- Pierre, grand maître des Eaux et Forêts de Bretagne (en 1696), épouse en 1687 Louise de Chouppes, veuve de Jean Douart, seigneur de Villeport (Saint-Nazaire ?)

Famille de la Moussaye (1) : Texte de Pol Potier de Courcy. Adaptations mineures et traduction bretonne par J.-C. Even

MOUSSAYE (DE LA) (ramage de Penthièvre), sr dudit lieu, par. de Plénée-Jugon; de Kergoët, par. de Saint-Jouan-de-l'Isle; de Plouër, par. de ce nom; de Pontual, par. de Saint-Lunaire; de Touraude, du Vauraoul, du Boisfaytou et de la Guédinaye, par. de Baguer-Morvan; de Lorgeril, par. d’Hénanbihen; de la  Folinaye, de la Villeguériff, de Beaussais, des Noës, des Métairies, de la Villedaniel, de Saint-Marc, de la Chesnaye-Taniot, par. de Matignon; de Pontgamp, par. de Plouguenast.

Anc. ext. chev., réf. 1669, dix gén.; réf. et montres de 1423 à 1535, par. de  Plénée-Jugon et Hénanbihen, év. de Saint-Brieuc, Saint-Jouan-de-l'Isle et Saint-Lunaire, év. de Saint-Malo.

D'or fretté d'azur de six pièces

En aour plezhek en glazur a c'hwec'h pezh  

Devise / Sturienn : Honneur à Moussaye.

- Olivier, fils aîné de Guillaume de Penthièvre, vend le grand pré d’Uzel au vicomte de Rohan en 1271;

- Raoul, croisé en 1218 (cab. Courtois); 

- Gervais, fait une fondation à Boquen en 1264; 

- Geoffroi, repoussa les Anglais, à Dol, en 1339 et reçut à cette occasion du duc Jean III, la devise que sa famille a conservée; 

- Bertrand, frère du précédent, vivant en 1320, marié à Isabeau de Plumauga; père de :

-- Guillaume, marié :1° à Olive du Margaro; 2° à Jeanne Maimbier. Du premier lit issurent Guillaume, qui a continué la filiation de la branche aînée, et Alain, homme d'armes de l'expédition de du Guesclin en Guyenne en 1372, auteur des branches de Lorgeril et de la Chesnaye. Du deuxième lit issut Bertrand, auteur des seigneurs de Carcouét, qui suivent.

La branche aînée a produit : 

- Raoul, maître des requêtes du duc Jean V en 1440, puis évêque de Dol,; décédé en  1456;

- Amaury, échanson et chambellan du duc François Ier et grand veneur de Bretagne en 1443; (1458 ?)

- Christophe, abbé de Boquen, décédé en 1522, frère de Gillette, dame de la Moussaye, mariée en 1506 a Guy Gouyon, sr de Launay-Gouyon et du Vaudoré, trisaïeul d'Amaury Gouyon, sr de la Moussaye, en faveur duquel cette seigneurie fut érigée en marquisat en 1615. Cette terre a passé depuis par alliance aux Montbourcher, puis aux Franquelot de Coigny, et appartient aujourd'hui aux la MotteVauvert.

Le chef de la branche de la Chesnaye a reçu le titre héréditaire de marquis par lettres-patentes de l188; un de ses membres a été élevé a la pairie en 1835.

Famille de la Moussaye (2) : Texte de Pol Potier de Courcy. Adaptations mineures et traduction bretonne par J.-C. Even

MOUSSAYE (DE LA) 

 

Muirchu : prêtre du Leinster; biographe de Saint Patrick. On peut trouver des traductions : A.B.E. HOOD; Éditions Phillimore & Co. Ltd. Chichester, Sussex, England. Édition 1978.

Mystichides, archonte d'Athènes en -386

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