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Breizh Bretagne |
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Plérin * Plerin |
pajenn bet digoret an 03.07.2019 | page ouverte le 03.07.2019 | * forum du site Marikavel : Academia Celtica | dernière mise à jour 10/12/2024 14:48:11 |
Définition / Displegadur : Commune de la Bretagne historique, en Pays de
Goëlo,
évêché de Saint-Brieuc. Aujourd'hui dans la région administrative non historique dite "de Bretagne"; département des Côtes d'Armor; arrondissement de Saint-Brieuc; autrefois canton de Saint-Brieuc-Nord; aujourd'hui chef-lieu de canton; sur la Baie de Saint-Brieuc et le Gouët. Code postal : 22190 Superficie : 2773 ha. Population : 2400 'communiants' vers 1780; 5664 hab. en 1878; 5809 hab. en 1881; 8780 hab. en 1968; 10559 hab. en 1999; 12700 hab. en 1996; 12512 hab. en 1999; |
i Carte J. Rigaud. 1890 |
Armoiries; blason / Ardamezioù; skoed
:
* Régis de Saint-Jouan (1990) : " ... armoiries de la seigneurie et de la famille de Couvran, telles qu'elles sont indiquées en 1656 ..." * Éditions Flohic (1998) : "Ce sont les armoiries du fief de Couvran". |
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Paroisse / Parrez : église sous le vocable de saint Pierre. |
Histoire / Istor : * Ogée (1780) : Plerin; sur une hauteur; à 3/4 de lieue au N.-N.-O. de Saint-Brieuc, son évêché et sa subdélégation; à 20 lieues 3/4 de Rennes, son ressort. On y compte 2400 communiants. La cure est à l'alternative. Le duc de Penthièvre en est le seigneur. La moyenne et basse-justice de la Villerault appartient à Mlle. de la Lande de Caslan. La Montagne, le Gué, le Couvran, les Rosaires et les Malebrousses sont les maisons de ce territoire, qui est borné par la mer, et où se trouve le port du I.égué (Voy. Saint-Brieuc.) Les terres y sent fertiles en toutes sortes de grains; on y voit beaucoup de landes : c’est un pays coupé par plusieurs grands vallons, dans lesquels passent des ruisseaux qui vont se jeter dans la mer. La piété de deux filles donna naissance, en 1706, an monastère des Filles du Saint-Esprit; maison très-utile, puisqu'elle est la ressource des pauvres. On remarque encore en beaucoup d'endroits de la Bretagne, surtout de la Basse, des pardons superstitieux, des fêtes inutiles et toujours dangereuses, où les gens de la campagne vont s’enivrer, dépenser leur argent, perdre leur temps, se battre, et souvent commencer des procès ruineux. En voici un exemple. A un quart de lieue de Plérin est une chapelle dédiée à saint Eloy, dont la fête se célèbre an mois de juin. Les paysans des environs ont rendu ce saint le patron des juments et des chevaux. Tous les ans, au jour de la fête, les habitants des paroisses de dix lieues à la ronde y viennent en pèlerinage. Après leurs prières faites à la chapelle, ils vont à la fontaine qui se voit auprès, y puisent de l'eau avec une écuelle, et la jettent dans la matrice et dans les oreilles de leur jument, et en arrosent les testicules de leur cheval, dans la persuasion que cette eau a la vertu prolifique. Cette opinion est si bien gravée dans l'esprit de ces bonnes gens, qu’il serait impossible de l'en déraciner. Ce n'est pas le seul abus de cette assemblée : les hommes s'enivrent; et lorsqu' on en voit quelqu'un dans cet état, tout le monde s'écrie : il a la goutte. Celui qui est à cheval, pour montrer qu'on se trompe, se met à courir à toute bride, et il n'est pas surprenant de voir suivre des accidents très-fâcheux de ces excès. Outre l'ivrognerie, on pourrait encore mettre an rang des abus le libertinage et le désordre qui se commettent dans cette assemblée. Il n'est pas rare de voir des filles que la fontaine de Saint-Eloy rend aussi fécondes dans l'année. C'est à ceux qui dispensent la loi d'apporter le remède : ce serait aux recteurs à veiller avec soin sur ces pieux pèlerins, ou plutôt à recourir à l'autorité pour obtenir la suppression de ces fêtes. Mais n'y aurait-il point de l'indiscrétion à exiger d'eux ce sacrifice ? Avec cela, dit Rabelais, le recteur met la poule au pot. * Marteville et Varin (1843) : PLERIN (sous
l'invocation de saint Pierre); commune formée de l'anc. par. de ce nom;
aujourd'hui succursale; chef-lieu de perception. — Limit. N. la mer (baie
de Saint-Brieuc); E. la mer (baie de Saint-Brieuc); S. Saint-Brieuc; O.
Trémusson. — Princip. vill. : Saint-Eloy, Monpertuit, Quemarré, la
Ville-Guérin, Daniel, Rosellier, la Ville-Gaudin, la Ville-Hervi,
Port-Horel, la Ville-Ain, la Ville-Comar, Petit-Couvrand, le Légué,
Pont-de-Gouet, la Cadoire, Grand-Couvrand, la Ville-Neuve, la Ville-Erdoret,
la Ville-Solon, la Ville-Huet, Grande-Grange, Petite-Grange, la Ville-Gohet,
Kerpeu, la Villc-Broutté, la Charpenterie, la Ville-au-Bedet, Peignart,
Plessis.— Superf. tot. 2755 hect. 45 ares, dont les princip.
divis. sont : ter. lab. 2262; prés et pât. 134; bois 10; verg.
et jard. 6; landes et incultes 160; sup. des prop. bât. 19; const. non imp. 165.
Const. div. 827; moulins 7 (du Port Horel, à vent; de Suzen, Veillard,
Neuf, à eau).
L'église de Plérin est moderne, et n'a été activée qu'en 1825. C'est un
vaste bâtiment, avec une large nef et des bas-cotés réguliers, qui n'a rien
de remarquable sous le rapport architectural, mais dans lequel on voit une statue
de la Vierge, ouvrage du XVIè siècle, et un bénitier, fort endommagé, fleurdelisé comme les armes de France l'étaient au XVè siècle. Si,
comme on le pense, ces deux ouvrages d'art viennent de l'ancienne
église, ils servent à constater qu'elle remontait au moins an XVè siècle.
— Outre la nef paroissiale, il y a en Plérin plusieurs chapelles. Ce
sont celles, 1° du Sépulcre, dédiée au Saint-Esprit; 2° de Saint-Eloi;
3° de Port-Horel, dédiée à saint Laurent; 4° Coivran, dédiée à saint
Maudcz; 5° d'Argentel; 6°, de Bon-Repos, située sur le versant
méridional de la côte de ce nom, et dédiée, ainsi que la précédente,
à Notre-Dame; 7° celle des Rosaires, que M. Habasque croit devoir
être dite des Rosaies, ce que contredit d'une façon
irrécusable un titre de propriété de 1600, que possède M. Gautier du
Mottay; 8° enfin, du Légué. Cette dernière, également
dédiée à la Vierge, est du XVIIIè siècle, et sa construction n'a rien que de fort
ordinaire. Mais elle renferme des statues en marbre blanc, témoignage de
l'ancienne opulence des négociants qui ont fondé cette chapelle pour leur
commodité, autant que de l'aisance actuelle de cette localité, qui
entretient à ses frais un chapelain. Le pardon de Saint-Eloy, sur lequel on a beaucoup
plaisanté, et que notre auteur a, contre sa coutume, assez durement traité, est loin
cependant de présenter autant
de vices et de ridicules qu'on lui a prêté. Ce pardon,
qui se tient toujours le 24 juin de chaque année, n'a pas
cessé d'être fréquenté par un grand nombre d'éleveurs;
mais peu d'entre eux croient réellement à la vertu des eaux de la fontaine de
Saint-Eloy. Ils y voient pour la plupart, avec le bon sens qui caractérise
le paysan des Côtes-du-Nord, un rendez-vous où chacun est fort aise de
montrer ses pouliches et de faire valoir leurs qualités. — Quant
aux vicieuses coutumes que stygmatise notre auteur, si
elles ont existé jadis, elles ont disparu aujourd'hui; les mœurs se conservent
aussi pures au pardon de saint Eloy
que dans tout le pays, et le clergé de la paroisse ne pousse à la
création d'aucune autre réunion de ce genre.— Il n'y
a pas encore vingt-cinq ans, quand une jeune mariée quittait la maison
paternelle pour se rendre à celle de son mari, ses parents et amis, rangés
sur son passage, l'excitaient à ne pas partir et la retenaient
jusqu'à déchirer ses vêtements; aujourd’hui cette coutume scandaleuse
a totalement disparu. Le clergé a aidé à la détruire. — Sur
plusieurs points de la commune de Plérin, on rencontre des
vestiges de l'ancienne présence des Romains sur ce territoire. Le
principal est la voie romaine qui, de la petite baie
de Saint-Laurent, semble se diriger vers Corseul. Cette voie, dite le Chemin
Chaussée, est surtout apparente au dessous
du village de Porthorel, sur une longueur de 1,000 à 1,200 m, et elle
vient aboutir abruptement au rivage, qu'elle domine
encore de 4 à 5 m., quoique depuis des siècles le flot travaille
à la saper. Un fossé très-profond borde cette route de chaque coté
et dans toute sa longueur, et il est évident qu'elle se rattache à
ce que les Romains appelaient via
calcata, c'est à-dire à cette espèce de voies qu‘ils
confectionnaient par un assemblage de pierres et de chaux.
C'est, on peut le dire en passant, ce qui a fait donner à ces chemins le nom
de chaussée, qui, depuis, est resté synonyme de toute voirie
un peu importante. — Près du pont où finit brusquement cette voie, qui
probablement traversait la baie de Saint-Brieuc avant l'envahissement de la
mer, par lequel, dans les premiers siècles de l'ère chrétienne, ont
été créées la baie du Mont-Saint-Michel, et probablement celle-ci, on
a découvert, il y a un peu de temps, des ruines qui semblent indiquer
qu'une maison de construction romaine a existé en cet endroit. Un autre
fait non moins caractéristique peut-être, c'est la découverte qu'on
a faite très-près de ces ruines d'un amas de coquilles d'oursin, ou
hérisson de mer, coquillage qui n'a jamais servi de nourriture aux
habitants de nos côtes, tandis qu'il est généralement mangé par les peuples
riverains de la Méditerranée. Une population méridionale a donc dû
habiter ces lieux. — Le nom de Porthorel semble en outre dériver de Pors
Aurelii, tandis qui'l ne rencontre, dans la langue bretonne, aucune
étymologie satisfaisante. ... En 1675, une frégate ostendaise
poursuivant un navire français dabs la baie de Saint-Brieuc, vint
s'échouer dans l'anse des Rosaires. La marée en montant
pouvait permettre à ce bâtiment de se remettre à flot; mais les
milices dePlérin et de Saint-Brieuc réunies prirent aussitôt les
armes, et tentèrent d'enlever d'assaut la frégate ennemie, avant
qu'elle pût profiter du jusant. Malheureusement, ces milices
n'avaient pas de canon, tandis que les Hollandais faisaient jouer
contre elles deux pièces qu'ils avaient pu mettre en batterie.
Gendrot et Rufflet, qui conduisaient les milices, eurent alors l'idée
de faire avancer leur troupe à l'abri de charretées d'ajoncs, qui
leur formaient un rempart précieux. En effet, elles gagnèrent ainsi
pas à pas la grève, et enlevèrent à l'abordage le bâtiment
ostendais. On dit que le capitaine du navire qu'elle poursuivait une
heure auparavant fut le second à atteindre le pont et à prendre
possession de la frégate. — Jean Leuger, prêtre en1674, auteur du
Bouquet de la Mission, et d'autres écrits religieux, est né à
Plérin. — On voit dans le cimetière un tombeau en granite de
Kersanton, d'un assez bon style de l'époque de Louis XIII. Ce
tombeau, malheureusement livré aux mutilations des enfants,, et qui
était jadis dans l'église, à l'entrée de l'enfeu qui renfermait
les sépultures des seigneurs de Couvran ou Coivran, représente, les
mains jointes, recouvert d'une cotte d'armes, et ayant à ses pieds un
lévrier accroupi, le sire Thibaud de Tanouarn, seigneur de Couvran.
Les quatre faces de ce mausolée sont couvertes d'armoiries sculptées
et bien conservées. Le casque, qui couronne l'écusson dont la tête
est surmontée, forme bénitier. — Il y a en Plérin une école
mutuelle de garçons, tenue un frère Lamennais, et une école de
petites filles, tenue par une religieuse du Saint-Esprit. Ces
deux écoles réunies comptent environ deux cent élèves. — Cette
localité est une des plus industrieuses des Côtes-du-Nord. Chaque
année elle expédie près de trois cent matelots à la pêche de la
morue; beaucoup de familles de la côte s'adonnent, en outre, toute
l'année à la pêche du poisson dans la baie de Saint-Brieuc. — L'industrie
compte encore, outre ce que nous avons dit de celle du Légué, un moulin
à fouler les grosses étoffes, au lieu de la Boissière : une fabrique
d'huile de lin et de colza, fondée et dirigée par M. C. Ronxel, à Veillard;
enfin, à Couvran, une corderie qui emploie plus de cinquante ouvriers.
— L'agriculture est, de son côté, aussi florissante que possible :
c'est sur les collines du Légué, de la Cadoire et de Souzain, que l'on
cultive les immenses quantités de choux et d'oignons que ce pays exporte
au loin; et la production de froment est tellement favorisée^par la
nature des terres et par les engrais de mer, que plus des deux tiers de
celles-ci sont employés à cette culture. Enfin, depuis quelques,
l'élève des chevaux et des ânes a pris un développement considérable.
Il ne faut donc pas s'étonner si, obéissant à ce grand progrès, Plérin
compte plus de 68 kil. de chemins vicinaux classés. — Deux stations
de la ligne télégraphique de Paris à Brest sont établis sur cette commune
: l'une à la pointe du Rosellier, l'autre à la Ville-Rault.
— Près du premier est une batterie de deux canons de 36, avec une
caserne de quarante lits et un fourneau à rougir les boulets. — Géologie
: schiste et micaschiste; belle carrière de pierre à bâtir, exploitée
à Goguet. — M. Lemaout a recueilli divers faits qui constateraient
la présence sur cette grève d'une forêt sous-marine, analogue à
celle de la baie du Mont-Saint-Michel. Ces faits, qui concourent à
établir le changement de niveau de la mer sur la côte nord de
Bretagne, paraissent remonter à l'an 709 de l'ère chrétienne. (Voy. séance
de l'Académie des sciences, 27 août l837.) * Editions Delattre (2004) : En 1601, la peste ravagea la ville, puis ce fut le choléra de 1849 à 1850. |
Patrimoine.
Archéologie / Glad; Arkeologiezh : seules les fenêtres ouvertes ont des liens actifs
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i Port du Légué Photographie provenant de Facebook. Contributeur Olivier Roussel |
i 2024 Notre-Dame de Bon Repos Photographies provenant de Facebook. Contributeur Olivier Roussel |
Étymologie / Gerdarzh :
* Jean-Yves Le Moing (1990) : Plerin, 1254; 1513; * Bernard Tanguy (1992) : Plerin, 1225; 1254; v. 1330; "Homonyme des Plourin du Finistère, Plérin semble bien avoir pour éponyme un obscur saint breton, *Rin, dont le nom, associé au vieux-breton lann “ermitage”, est à l'origine de Lanrin, villages de Mahalon et de Plounéventer (Fin) et, avec le breton mouster “monastère”, de Monterrein (Morb.), Mousterin en 1187. Inattesté semble-t-il par ailleurs, ce nom a du moins pour dérivé l'anthroponyme Rinan, Rinnan, que l'on rencontre au IXè siècle dans les actes de l'abbaye de Redon. * Erwan Vallerie (1995) : Plerin, 1215; 1254; 1371; Plerim, Pleryn, Ploerin, 1371; Plerin, 1430; 1516; Ploerin, 1636 * Éditions Flohic (1998) : de l'ancien breton ploe, paroisse, et de Ri, saint breton. * Hervé Abalain (2000) : paroisse de Rin(an); cf Plourin |
Personnes connues | Tud brudet |
Thébaud de Tanouarn
Seigneur de Couvran; Conseiller au Parlement de Bretagne en 1615 |
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Yves de Tanouarn
Conseiller au Parlement de Bretagne en Président des Enquêtes au Parlement de Bretagne en *** Rennes, *** ? / Plérin, 1665 |
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Pierre de Tanouarn
Conseiller au Parlement de Bretagne en |
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Geoffroy de Couvran
Capitaine breton; compagnon d'armes du connétable Arthur de Richemond |
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Marie Balavenne
(1666-1743), et Renée Burel (1682-1720)
Fondatrices de la première communauté des sœurs de Charité du Légué |
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Catherine Briand
(1722-1895)
Supérieure générale de la congrégation des religieuses du Saint-Esprit de 1779 à 1804 |
|
Jean-Olivier Briand
Évêque de Québec (décédé après 1771) |
|
Jules
l'Ecuyer
Quintin, 30.01.1814 / Plérin, 1862 |
|
Pierre-Marie Ogée
Sculpteur Plérin, 1817 / Saint-Brieuc, 1867 |
|
Charles Lorgeril
Président de la Société d'Émulation des Côtes-du-Nord |
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Joachim Gaultier du Mottay
Maire de Plérin; Membre de la Société d'archéologie. Savenay, 1811 / *** 1883 |
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Marcel Brindejonc
des Moulinais
Aviateur, héros de la guerre 1914-1918 Tué à Verdun le 20 aout 1916 |
Armorial * Ardamezeg
Bérard | Couvran | Favigot | du Fay | |
Seigneurs
de Kermartin, en Minihy-Tréguier;
de la Ville-Théart, en la Bouillie;
du Coin, en Ruca;
de Frost; de Pontfilly; du Verger; des Landes, en Erquy;
de la Fruglaye, en Plurien;
de la Villemain et du Glangier, en Planguenoual;
de Bellemare, en Plérin;
de la Fauvelière, en Bais;
de la Foucaudière, en Saint-M'Hervé;
comte de Déciane en Piémont en 1521
"d'argent à la croix engreslée de sable" "en arc'hant e groaz goñchek en sabel" devise / sturienn : "Qui statuit legem elegit" (PPC)
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Seigneurs
dudit lieu en Plérin; du Plessix-Budes, en Plédran; de Sacé, en
Normandie; de la Morandaye, en Trémuson; de Launay, en Trégueux.
"d'or à sept macles d'azur, 3, 1, 3" "en aour e seizh vailhenn en glazur, 3, 1, 3" La branche aînée fondue au XV7 siècle dans Le Forestier de Kerahuis; la branche de Launay et de Sucé fondue dans Romilley, puis Budes (PPC) |
alias
/ neuz all :
"une fasce accompagnée de sept macles" "un dreustell heuliet gant seizh vailhenn" Couleurs non précisées Livioù disanvet |
Seigneurs de la Villegohel et de la Villerault, en Plérin; du Clos, en
Saint-Michel; de la Ville-Raoul, en Cesson; du Bouëxic "d'or à la fasce d'azur, chargée d'un croissant d'or, accosté de deux roses de même, et accompagnée de trois grenades de gueules" "en aour e dreustell en glazur, karget gant ur greskenn en aour, hebiaet gant div rozenn ivez en aour; hag heuliet gant teir c'hreunaval en gwad" déboutée en 1671; admis aux États de 1736 (PPC) |
Seigneurs dudit lieu, de la Grange, en
Plérin; de Guilhé, en Erquy; de la Ville-Bresselet; de
Saint-Rieul "de gueules à sept macles d'argent, 3, 3, 1" "en gwad, e seizh vailhenn, en arc'hant, 3, 3, 1" références et montres de 1449 à 1513 (PPC) |
Vie associative | Buhez dre ar gevredadoù |
Jumelage avec Herzogenrath
Allemagne; Rhénanie-du-Nord-Westphalie |
Gevellidigezh gant Herzogenrath
Bro-Alamagn; Nordrhein-Westfalen |
Communes du canton de Plérin | Kumunioù kanton *Plerin | |
Plérin | *Plerin | |
Pordic | *Porzhig | |
Trémuson | *Tremuzon |
Communes limitrophes de Plérin |
Kumunioù tro war dro Plerin |
Trémuson | Pordic | Baie de Saint-Brieuc |
Gouët |
Saint-Brieuc |
Sources; Bibliographie / Eien; Levrlennadur
: * OGEE : Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne; vers 1780; * A. MARTEVILLE et P. VARIN, vérificateurs et correcteurs d'Ogée. 1843. * Adolphe JOANNE : Département des Côtes du Nord. Hachette. 1878. * J. RIGAUD : Géographie historique des Côtes du Nord. Imprimerie Francisque Guyon, Saint-Brieuc. 1890. Réédition La Tour Gilles. 1995 * Dictionnaire MEYRAT : Dictionnaire national des communes de France. (année 1968). Editions Albin-Michel Paris. 1970 * Régis de SAINT-JOUAN : Département des Côtes-d'Armor. Dictionnaire des communes; éléments d'histoire et d'archéologie. Conseil Général des Côtes d'Armor. Saint-Brieuc. 1990 * Jean-Yves LE MOING : Les noms de lieux bretons de Haute Bretagne. Coop Breizh. 1990 * Bernard TANGUY : Dictionnaire des noms de communes, trèves et paroisses des Côtes-d'Armor. ArMen - Le Chasse-Marée, 1992 * Erwan VALLERIE : Diazezoù studi istorel an anvioù-parrez * Corpus * Traité de toponymie historique de la Bretagne. An Here. 1995 * Edmond REBILLE : Itinéraire littéraire en côtes d'Armor. Coop Breizh. 1998. * Éditions FLOHIC : Le Patrimoine des communes des Côtes-d'Armor. 1998 * Hervé ABALAIN : Les noms de lieux bretons. Les universels Gisserot. 2000 * Daniel DELATTRE : Les Côtes-d'Armor; les 372 communes. Editions Delattre. 2004 * Michel FROGER et Michel PRESSENSE : Armorial des communes des Côtes d'Armor et d'Ille-et-Vilaine. 2008 * Pol POTIER de COURCY : Nobiliaire et armorial de Bretagne. 1890. Editions des Régionalismes. 2011 / 2015 * AL LIAMM : Nouveau Dictionnaire Breton / Français; Français / Breton. 2014 * FACEBOOK (pour documents multi-dates) |
Liens électroniques des sites
Internet traitant de Plérin * Plerin : * lien communal : Ville de Plérin Ville de Plérin * Wikipedia brezhonek : https://br.wikipedia.org/wiki/Plerin * forum du site Marikavel : Academia Celtica * Autres pages de l'encyclopédie Marikavel.org pouvant être liées à la présente : http://marikavel.org/heraldique/bretagne-familles/accueil.htm http://marikavel.org/broceliande/broceliande.htm * solidarité nationale bretonne avec le département de Loire Atlantique : Loire-Atlantique * sauf indication contraire, l'ensemble des blasons figurant sur cette page ont été dessinés par J.C Even, sur bases de GenHerald 5. * Introduction musicale de cette page : Bro Goz Ma Zadoù, hymne national breton, au lien direct : http://limaillet.free.fr/MP3s/BroGoz.mp3 hast buan, ma mignonig, karantez vras am eus evidout va vite, mon petit ami, je t'aime beaucoup go fast, my little friend, I love you very much |