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Breizh Bretagne |
War araog atao |
Bro hag Eskopti Leon Pays et Évêché de Léon |
Plabennec
Plabenneg |
pajenn bet digoret ar 17/01/2011 | page ouverte le 17/01/2011 | * forum du site Marikavel : Academia Celtica | dernière mise à jour 04/10/2024 18:48:56 |
Définition / Displegadur : Commune
de la Bretagne historique, en Pays de Léon / Bro-Leon.
Évêché de Saint-Pol-de-Léon / Kastell-Paol.. Aujourd'hui dans la région administrative non historique dite "de Bretagne", département du Finistère; arrondissement de Brest, chef-lieu de canton de Plabennec; sur l'Aber-Benoît et le Mendy. Code postal : 29860 Superficie : 5000 ha. Population : 3300 'communiants' vers 1780; 3556 hab. en 1878; 3836 hab. en 1906; 4484 hab. en 1968; 6435 hab. en 1982; 6895 hab. en 1990; 6997 hab. en 1999; |
Paroisse / Parrez : sous le vocable de saint Ténénan. |
Armoiries; blason / Ardamezioù; skoed : *Editions Flohic (1998), donnant le dessin des armoiries : * Froger et Pressensé (2001) : "Écartelé : aux 1 et 4, d'azur à une tour sommée de tourillons d'argent, portée sur une demi roue du même; aux 2 et 3, d'or à un lion d'azur; au chef d'argent à cinq mouchetures d'hermine". Devise : "War araog atao" (En avant toujours). Concepteur : Yann Nicolas (1973). D.M. : 16 avril 1973. La tour des Lesquelen. Au VIIè siècle, un sire de Lesquelen, investi dans sa tour par les Saxons, en barricada la porte avec une roue de charrette et parvint à repousser l'ennemi. Les lions sont Kermavan (sceau de 1273). * J.-C. Even : "Palefarzhet : ouzh 1 ha 4, en glazur e dour leinet gant touriganoù en arc'hant, skoret gant un hanter rod ivez en arc'hant; ouzh 2 ha 3, en aour e leon en glazur; e gab en arc'hant karget gant pemp erminig en sabel". |
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Histoire / Istor :
* Ogée (1780) : Ploabenec; sur la route de Brest à Lesneven; à 8 lieues à l'O.-S.-O. de Saint-Pol-de-Léon, son évêché; à 45 lieues de Rennes, et à 2 lieues 1/2 de Lesneven, sa subdélégation et son ressort. Cette paroisse relève du roi; on y compte 3300 communiants. La cure se présente par l'évêque. Son territoire est coupé par un grand nombre de vallons dans lesquels passent des ruisseaux. On y voit des terres fertiles en grains de toute espèce, d'excellents pâturages et peu de landes. L’an 600, la forêt de Talamon, qui est aujourd'hui coupée par la route de Landerneau à Brest, s'étendait jusqu'à Ploabennec. L’église paroissiale doit sa fondation à saint Tenenan, septième évêque de Saint-Pol-de-Léon, qui la fit bâtir à des frais. Ce saint prélat mourut dans cette paroisse en 635. On y garda long-temps ses reliques, qui furent transportées ailleurs, pour les dérober aux profanations des Normands. On prétend que le château de Lesquelen, qui n'existe plus aujourd’hui, fut bâti dans le méme temps. La jurisduction dc la châtellenie de Keralgurzen, qui s'exerce en cette paroisse, appartenait, en l310, à Maurice de Keralguezen. Lannoster appartenait, en 1500, à Christophe Gourio, sieur de Lannoster. Les autres maisons nobles sont : le Gourequer, Keranuou, Kerbrat, Kergrech, Kerbabu, Kerhalz, le Mendi, Pcntré et le Rest-Baudies. * Marteville et Varin (1843) : PLABENNEC; commune formée de l'anc. par. de ce nom : aujourd'hui cure de 2° classe. — Limit. : N. Drennec, Loc-Brévalaire; E. Kersaint; S. Goueznou, Guipavas; O. Plouvion, Bourgblanc. — Princip. vill.; Kerargoff, Kerbrat, Kergoadou, Kerjestin, Kergoff, Keruzaouen, Keranguéven, Kermorvan,; Lannorven, Kerstrat, Lormeau, le Mendy et Kerhuon. — Manoirs de Kerbrat, du Rest.— Superf. tot. 5271 hect, dont les princip. divis. sont: ter. lab. 2455; prés et pât. 298; verg. et jard. 39; bois 51; étangs 54; landes et incultes 2050; sup. des prop. bât. 39; cont. non imp. 199. Const. div. 613; moulins 18 (de Seluz, de Kergrac'h, du Pont, de Kerandraon, Leuhon, Gouennon, à eau). Plabennec est un bourg très-important, bien bâti, et dont l’aspect ne rappelle en rien les autres bourgs du Finistère; mais l'église est neuve et n’offre rien de remarquable. — La route de Brest à Lesneven traverse cette localité dans la direction sud-nord. — L’agriculture est assez florissante en Plabennec, grâce aux engrais de mer, qui y remontent par bateaux, et que l'on paie de 36 à 37 fr. la batelée. Le blé réussit bien dans une partie des terres. — On voit à l’embranchement des chemins de Plabennec et du Drennec une énorme pierre dite des Trois-Recteurs, parce qu’elle sert de limite aux deux communes que nous venons de citer et à celle de Kersaint. C'est une roche isolée, volumineuse et d'une forme quasi-ovoïde; on y voit une inscription en caractères dont personne n'a jusqu’ici donné la traduction, et qui sont peut-être plutôt d’une mauvaise forme d'une origine antique, fait bien connu dans la Basse-Bretagne, ou des inscriptions de 1830 et de 1840 ont un aspect vraiment gothique, faites qu’elles sont par des maçons qui, pour la plupart, imitent sans discernement toutes les capitales qu’i1s ont vues çà et là. — L’étang de Leuhon est fort beau, et mérite d'être cité. On lui donne 50 à 54 hect. de superficie. — Géologie : Constitution granitique. — On parle le breton. -------------- * J.-F. Brousmiche (1829, 1830 et 1831) : "De Plouvien à Plabennec on trouve quelques portions de terre qui sont cultivées avec soin; le reste ne présente que de la lande et de la fougère. Plabennec est un gros bourg place sur la grande route, a moitié chemin de Brest à Lesneven. Son église, la seule chose qu'on puisse y remarquer, est grande; elle est de construction moderne et présente à l'intérieur un aspect flatteur. La décoration en est élégante et contraste parfaitement avec celle de la plupart des temples de nos campagnes qui sont dégoûtants de malpropreté. Plabennec fut, en 1792, le théâtre d'un nombreux rassemblement de paysans du bas-Léon qui, attachés à leurs prêtres qu'on voulait leur ravir, levèrent l'étendard des lys dès longtemps avant la Vendée. Beaucoup d'ecclésiastiques non assermentés étaient cachés dans cette paroisse, et ce fut les armes à la main que les paysans voulurent les défendre et les conserver. Sans chefs et sans expérience de l'art militaire, ils eurent à lutter contre une partie de la garde nationale et de la garnison de Brest, commandée par le général Canclaux. La partie ne fut pas égale. Les paysans avaient rompu les ponts, fait des tranchées sur les routes, pour empêcher le passage de l'artillerie; nonobstant toutes ces précautions, ils furent promptement réduits. Quelques coups de canon, tirés à grande volée, les effrayèrent, et ils se virent contraints à livrer les prêtres qu'ils ne pouvaient défendre. Ces prêtres furent transférés à Brest, déposés au château et dans le couvent des Carmes; plus tard, ils furent déportés en Espagne. Le même jour, de pareils rassemblements eurent lieu à Plougonvelin près du Conquet, et à Fouesnant, dans l'évêché de Quimper. Ils furent aussi dissipés avec promptitude, et ne laissèrent aucune trace de leur passage. L'année suivante, dans les environs de St Pol de Léon, une masse de cultivateurs s'insurgea aussi; mais cette insurrection avait pour objet le refus de satisfaire à la réquisition ordonnée des jeunes hommes de 18 à 25 ans. Les paysans furent défaits au pont de Kerguiduff; c'était encore le général Canclaux qui était le chef des troupes dirigées contre eux. Ces mouvements sont les seuls qui aient eu lieu dans le Finistère, et qui eurent, en partie, la cause royale pour objet, excepté ceux de 1815, pendant les Cent-jours, où l'on vit quelques communes déployer la bannière blanche et se joindre aux défenseurs du principe de légitimité qui couvraient les Côtes du Nord et le Morbihan. L'échauffourée de Plabennec fit très peu de victimes : deux paysans seulement furent atteints; les troupes rentrèrent à Brest sans avoir perdu un seul homme. Plabennec fut peuplé dans des temps reculés. Le vaste Carneillou druidique découvert par Mr de Fréminville près de Lan Kermadec, les pierres qui se trouvent à côté de la Croix des trois Recteurs, en offrent la preuve. Malgré toute leur science, les antiquaires n'ont pu encore déchiffrer les caractères informes que l'on voit gravés sur ces pierres, ni leur assigner un sens quelconque. A ce témoignage des temps anciens et fabuleux, on peut joindre, dans Plabennec, celui des premiers siècles de l'ère chrétienne. On peut y admirer une de ces forteresses en pierres sèches, de forme conique, élevée sur un monticule, entourée d'un fossé profond; à côté, la chapelle de Lesquelen présente ses ruines pittoresques. On se prend à rêver près de ces monuments des anciens temps, et l'on se laisse aller au charme de cette rêverie. Le saint patron de Plabennec tient une place fort honorable dans la légende armoricaine. Beau comme un ange était Saint Ténénan; il pria Dieu de le rendre difforme pour conserver sa pureté de cur; sa demande fut octroyée. C'est à lui que le château de Joyeuse Garde, assiégé par les Normands, dut sa délivrance. Ses vertus embaumant à la ronde, il convertit les idolâtres et fut recteur de Plabennec, où il établit son hermitage qu'il ne quitta que pour porter la croix pastorale de St Pol de Léon. En se promenant dans la commune de Plabennec il convient d'aller voir et admirer l'élégant clocher de Loc-Maria qui, frappé par la foudre, a, par les soins de la fabrique, été réparé. Grâces lui en soit rendues, car elle a fait preuve de goût en essayant de conserver cette gracieuse pyramide. Sous le clocher, entouré d'arbres au vert feuillage, sont les débris de la chapelle; là, les ogives sont enterrées sous les pierres qui les couvrent; là, parmi les colonnes brisées, parmi les ruines que peu d'années ont faites, on peut remarquer un autel qui ne le cède, ni en élégance, ni en richesse de travail à ceux de l'église du Folgoat; là, encore, on trouve, à l'entrée du cimetière, l'une des croix en Kersanton les mieux sculptées du pays de Léon, où ces monuments sont si communs. A peu de distance de Loc-Maria est le manoir du Rest, joli manoir moderne entre cour et jardin, avec grilles, chapelle, avenues, bois ombreux. C'est une habitation confortable, mais dont la vue est bornée. Le bourg de Plabennec a vu naître un auteur bas-breton. C'est un sieur Le Jeune qui a consacré son existence à l'éducation de la jeunesse. Il a composé plusieurs ouvrages dans le dialecte celtique, entre autres une grammaire dans laquelle il a suivi la marche de l'abrégé de Lhomond; il s'est aussi beaucoup aidé du P. Grégoire de Rostrenen. A sa grammaire, Le Jeune a joint quelques éléments d'arithmétique et des modèles des actes et des contrats les plus usités. On doit à Le Jeune des remerciements et l'on n'apprécie pas assez les services par lui rendus au pays. Le plus bel étang du Finistère, celui de Leuhan, se trouve dans la commune de Plabennec; il faut une heure et demie pour en faire le tour, et il couvre un espace de 50 hectares. Cet étang est très poissonneux; la pêche s'y fait au mois de septembre, dans le moment des plus basses eaux. Il abonde en carpes et en tanches, dont plusieurs ont jusqu'à trente pouces de longueur. On y rencontre aussi de belles anguilles. Quand le poisson a été capturé, il est mis dans d'immenses réservoirs, d'où il est facilement enlevé, pour être transporté au marché de Brest qui ne reçoit de carpes que celles prises au Leuhan. Dans les temps froids, quand la neige couvre avec abondance nos campagnes, l'étang du Leuhan est peuplé de toute espèce de gibier, depuis le cygne jusqu'à l'humble sarcelle; le chasseur peut y faire son choix. -------------- * Éditions Delattre (2004) : ¨Plabennec comprenait dans son étendue les territoires actuels de Plabennec, Bréventec, Le Drennec, Kersaint-Plabennec et Saint-Thonan.
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Patrimoine.
Archéologie / Glad. Arkeologiezh : seules les fenêtres ouvertes ont des liens actifs
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Étymologie / Gerdarzh : * Bernard Tanguy (1990) : "Parochia Albennoca, XIè s.; Plobennec, Guitabnec ( = Guicabnec), 1173; Plebs Apennoc, Ploeapennoc, 1265; Ploeabennoc, 1282; Guigabennec, 1378". Paroisse bretonne primitive comme l'indique le terme de ploe "paroisse", Plabennec, dont le bourg chef-lieu était appelé Guigabennec (du vieux-breton gwik “bourg”), a pour éponyme un obscur saint breton Abennec, anciennement Abennoc. Ce nom d'homme, attesté également par Trébanec, village de Plovan, noté Treabennec en 1536, composé formé avec le vieux-breton treb “village” est d’origine brittonique. * Erwan Vallerie (1995) : Parrochia Abennoca, XIè; Guitabnec, 1172; Plobenec, 1172; Guibaganec, Ploabennec, 1173; Ploeapennoc, Plebe Apennoc, 1265; Ploebennoc, 1277; Ploeabennoc, 1282; Ploeabenneuc, Ploebenneuc, 1310, 1318; Ploeabennoc, 1324, 1339; Plebe Abenneunc, 1363; Ploenevenec ?, 1363; Guigabennec,1378; Ploeabenec, 1439; Ploeabennec, 1516; Plobenec, 1630; Ploabennec, 1779. * Editions Flohic (1998) : * Hervé Abalain (2000) : Ploeapennoc, en 1265. "la paroisse d'Abennoc ou Abennec" |
Personnes connues | Tud brudet |
Jean Lelarge
Marin (Louis-Bourg, 1738 / Plabennec, 1805) |
Jean Lelarge
Martolod (Louis-Bourg, 1738 / Plabenneg, 1805) |
Armorial * Ardamezeg
Beaudiez | de Bellingant | de Kerannou / Kerrannou | ||
Seigneurs
dudit lieu en Landunvez;
du Rest, de la Motte, de Touldrezen, de Kerbral et de Traonéden, en Plabennec;
de Garzjan, de Kermoalec et de Mézou, en Plouvien;
de Kergoual, en Plounevez-Lochrist
"d'or à trois fasces ondées d'azur, cantonnées à dextre d'un trèfle de même" "en aour e deir dreustell en glazur, ur velchonenn ivez en glazur ouzh konk dehoù" * Bernard, secrétaire du vicomte de Rohan, chargé en 1449, de la garde de son châtel de Rohan, marié à Mahotte de Keraldanet; - deux frères volontaires pontificaux, dont l'un tué à Castelfidardo, en 1860. - la branche aînée fondue dans Rannou et Sansay (PPC) |
alias
/ neuz all
"d'or à trois fasces ondées d'azur, surmontées de deux coquilles de gueules" "en aour e deir dreustell en glazur, leinet gant div c'hregilhenn en gwad" |
Seigneurs
de Kerbabu, paroisse de Lannilis;
de Kerambelec; marquis de Crénan, en Le
Foeil; seigneurs de Kerdouar, en Plabennec.
Anc. ex. chev. réf. 1669; huit générations; réf. et montres de 1443 à 1534, paroisse de Lannilis, évêché de Léon. "D'argent à trois quintefeuilles de gueules" "En arc'hant e deir fempdiliaouenn en gwad" (Comme / Evel : DENIS) - Hervé, croisé en 1248 (Cab. Courtois); - Guyon épouse vers 1400, Mahaut de Kermavan. Fondu dans Penmarc'h (PPC) |
ramage de Rannou Seigneurs dudit lieu, de Gorrequer et de Kersaliou, en Plabennec; de Kervasdoué, de Kermazé, de Gouëlet-an-Coat, de Keranstreat, en Plougonvelin. "losangé d'argent et de sable, à la bande de gueules chargée de trois trèfles d'argent" "talbennanek etre arc'hant ha sabel, e sourin en gwad karget gant teir melionenn en arc'hant" références et montres de 1426 à 1503 (PPC) |
Vie associative | Buhez dre ar gevredadoù |
Jumelage avec Waltenhofen,
Bavière, Allemagne, depuis 1976
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Gevellidigezh gant Waltenhofen,
Bavaria, Bro-Alamagn, abaoe 1976
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Communes limitrophes de Plabennec | Parrezioù tro war dro Plabenneg |
Bourg-Blanc / Bourg-Wenn | Plouvien | Loc-Brévalaire | Le Drennec | Kersaint-Plabennec | Guipavas | Gouesnou |
Source; Bibliographie / Eien ; Levrlennadur :
* OGEE : Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne; vers 1780; * A. MARTEVILLE et P. VARIN, vérificateurs et correcteurs d'Ogée. 1843. * J.-F. BROUSMICHE : Voyage dans le Finistère, en 1829, 1830 et 1831. Editions Morvran. 1977. * Adolphe JOANNE : Département du Finistère. Hachette. 1878. * René COUFFON et Alfred LE BARS : Répertoire des églises et chapelles du diocèse de Quimper et de Léon. 1959. Réédition par le Diocèse. Quimper 1988. * Éditions ALBIN-MICHEL : Dictionnaire des communes de France. 1970. * Bernard TANGUY : Dictionnaire des noms de communes, trèves et paroisses du Finistère. Chasse-Marée - ArMen. 1990. * Éditions FLOHIC : Le patrimoine des communes du Finistère. 1998. * Hervé ABALAIN : Les noms de lieux bretons. Universels Gisserot. 2000. * Michel FROGER et Michel PRESSENSE : Armorial des communes du Finistère. Éditions Froger SA. 2001. * Daniel DELATTRE : Le Finistère. Les 283 communes. Éditions Delattre. 2004. |
Liens électroniques des sites
Internet traitant de Plabennec / Plabenneg :
* lien communal : https://www.ville-plabennec.fr/ * pajenn Wikipedia brezhonek : https://br.wikipedia.org/wiki/Plabenneg * forum du site Marikavel : Academia Celtica * Autres pages de l'encyclopédie Marikavel.org pouvant être liées à la présente : http://marikavel.org/heraldique/bretagne-familles/accueil.htm http://marikavel.org/broceliande/broceliande.htm * solidarité nationale bretonne avec le département de Loire Atlantique : Loire-Atlantique * sauf indication contraire, l'ensemble des blasons figurant sur cette page ont été dessinés par J.C Even, sur bases de GenHerald 5. * Introduction musicale de cette page : Bro Goz Ma Zadoù, hymne national breton, au lien direct : http://limaillet.free.fr/MP3s/BroGoz.mp3 hast buan, ma mignonig, karantez vras am eus evidout va vite, mon petit ami, je t'aime beaucoup go fast, my little friend, I love you very much |