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Noms de lieux * Anvioù lec'hioù

Noms de personnes * Anvioù tud

Breizh

Bretagne

 

Bro Roazhon

Pays de Rennes

 

Eskopti Roazhon

Évêché de Rennes

  Mordelles

* Morzhell

 

pajenn bet digoret ar 15.10.2018 page ouverte le 15.10.2018     * forum du site Marikavel : Academia Celtica  dernière mise à jour 13/04/2024 19:53:56

Définition / Displegadur : commune de la Bretagne historique, en Pays-évêché de Rennes.

Aujourd'hui dans la région administrative non historique dite "de Bretagne"; département d'Ille-et-Vilaine; arrondissement de Rennes; chef-lieu de canton; sur les rivières Meu et Vaunoise.

Code postal : 35310

Superficie :  2984 ha.

Population :  2600 'communiants', y compris ceux de la Chapelle Toyrault, en 1780; 2485 hab. en 1878; 2486 hab. en 1881; 2921 hab. en 1968; 5149 hab. en 1982; 5901 hab. en 1999;

Armoiries; blason / Ardamezioù; skoed

* Froger et Pressensé : "de gueules à un croissant d'or"

- "Auffroy de Mordelles reçut du duc Alain III la terre de Mordelles en 1032 et en prit le nom"

* Editions Flohic : "Il représente les armes attribuées et confirmées ar la chambre de Réformation de la noblesse en 1668 aux descendants d'Auffroy de Mordelles, seigneur du lieu en 1032"

* JC Even : "en gwad e greskenn en aour". Le croissant est peut-être inspiré par l'étymologie basée sur les Maures ?

Paroisse : église sous le vocable de saint Pierre 

Histoire / Istor :

* Ogée (1780) : Mordelles; sur la rivière de Meu et sur la route de Rennes à Ploërmel; à 2 lieues au S.-S.-O. de Rennes, son évêché, sa subdélégation et son ressort. Cette paroisse relève du roi, et compte 2600 communíants, y compris ceux de la chapelle Toyrault , sa succursale. La cure est à l'alternative. On remarque une poste aux chevaux dans le bourg de Mordelles. Ce territoire est assez exactement cultivé, et produit des grains de toute espèce, d”excellent beurre et de très-bon cidre. — En 957, Lisoius de Craon était seigneur de Mordelles. Jean Lisoius, son fils et son successeur, vendit les métairies de la Forêt et d'Evigné à Odeline, qui les donna à l'abbaye de Saint-Georges de Rennes, nouvellement fondée, laquelle abbaye en jouit encore aujourd'hui. — En 1200, Etíennette de Tinténiac, abbesse de Saint-Georges de Rennes, transigea avec quelques particuliers de Mordelles, qui lui disputaient les oblations de la paroisse.

La terre et seigneurie de la Grignonaye appartenait, en 1410, à Jean de la Bintinaye, et, en 1430, à Ollivier Hervier : elle passa ensuite à MM. de Plouys [Plouais] de la Grignonaye. Au mois de juin 1588, le roi permit, par lettres-patentes, à Vincent de la Bintinaye, sieur de la Grignonaye, gentilhomme ordinaire de la chambre de Sa Majesté, de fermer sa maison et hôtel seigneurial de la Grignonaye de murailles, tours, fossés et pont-levis, et d'y avoir toutes sortes d'armes pour sa défense. Dans les lettres du même monarque, Vincent de la Bintinaye est qualifié du titre de haut et puissant seigneur. Cette seigneurie appartient encore à la même famille. 

Le château d'Artois appartenait, en 1400, à Yvon de la Porte, seigneur d'Artois. Jean, son petit-fils, épousa N. le Veneur [Le Meneust] de Bréquigny, de laquelle il eut plusieurs enfants. Jacqueline, dame d'Artois, épousa le comte de Chàteaurenaud, chevalier des ordres du roi, vice-amiral et maréchal de France. La terre et seigneurie d'Artois, avec haute, moyenne et basse-justice, fut érigée en vicomté, l'an 1711, en faveur du maréchal de Châteaurenaud; elle appartient aujourd'hui à la comtesse d'Estaing. Les jurisdictions suivantes s'exercent dans ce château : la Ville-Dubois, haute, moyenne et basse-justice, à M. Dubois de Farcy [De Farcy de la Vílle-Duboís]; Cherville, moyenne et basse-justice, a M. de Cherville; la Haye-Choix, basse-justice, à M. de Tremeleuc; la Haye de Mordelles, basse-justice, à M. de Trolong; Rouxelais, moyenne et basse-justice, à M. de Cícé. 

Le château de Beaumont appartenait, en 1420. à la maison de Dinan, d'où il passa dans celle de Laval. Jeanne de Laval, fille unique et héritière de l”illustre maison de ce nom, épousa Jean, seigneur de Montfort et de Kergorlay, qui prit le nom de Gui de Laval. Ces deux époux eurent un fils, qui épousa une des nièces du duc Jean V, et obtint du duc des lettres, datées du 28 novembre 1433, qui lui attribuaient le droit de menées à la Cour de Rennes, pour la seigneurie de Beaumont. Cette terre a été dans la possession de la maison de Rohan; elle est aujourd'hui à N... [M. Guibert de Beaumont, en 1780.]. 

En 1420, Malgouven, Mesler et la Ripujère [la Rivière], à Guillaume le Vayer; la Chenaye, à Perrine le Vayer; Rouschaulx, le Pont et Mahellé, à Pierre du Plessis; la Ville-Dubois et la Rochelle, à Jean Chouan, aujourd'hui il M. de Farcy; Machefer, la Garellière et le Vert-Bouil, à Michel Machefer; la Guichardaye, à Jean du Bobouil; les Noé, à Jean Hateloup; la Boulay, à Pierre d”Odier; la Haye et la Communaie, à Raoul de la Haye; la Huberdaye et la Rousseluais, à Pierre Josse; la Mutolaye, à Pierre Chauvin; la Guicharclaye-des-Noës, à Raoul de Beaumont; la Brouardaie, la Byardaie et la Haye-Choix, à Jean Hateloup; Bourg-Bouexel, à Olivier de Bourg-Bouexel; le Hazoy, à Pierre de Cacé; la Ville-Chevron, à Olivier de Braye; la Rehannaye, à Jean Uguet; la Ruennelaye, à Jean Châtel; la Rousselais, à N....

L'an 1497, Tremereuc et Saint-Laurent, son frère, capitaines du duc de Mercœur, arrivèrent, à la tête de deux mille hommes de troupes espagnoles et autres, au bourg de Mordelles, où ils sígnalèrent leur cruauté par le viol, le carnage et le pillage le plus affreux.

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* Marteville et Varin (1843) :  MORDELLES (sous l'invocation de saint Pierre; le 1er août, fête de saint Pierre-ès-Liens ); commune formée de l'anc. par. de ce nom, aujourd'hui cure de 2 classe; cheflieu de perception; brigade de gendarmerie il cheval; relai de poste. — Limit. : N. Cintré, la Chapelle-Thouarault, l'Hermitage, le Rheu;  E. Moigne, Chavagnes; S. Bréal, Talensac; O. Talensac, Cintré. — Princip. vill. : Haut-Plessix, la Hernaeherie, la Noé-Diole, Lessard, la Corbelais, le Mée, le Bignon, la Haute et Basse-Commerais, le Gretay, Petit-Vil-Chron, la Bunelais, Nouillé, la Riceudais, la Triolais, Ville -Noublé, l'Abbaye. — Châteaux d'Artois, de la Ville-Dubois, de la Grillonais, de Beaumnont, de la Haichois; la Rousselais. — Superf. tot. 2984 hect, 36 a., dont les princip. divis. sont : ter. lab. 2288; prés et pât.. 351; bois 44; verg. et jard. 69; landes et incultes 61; sup. des prop. bat.. 29; cont. non imp. 138. Const. div. 579; moulins 5 (du Bois-Girouet, du Pont, de Chouan, d'Artois, de Mordelles). Mordelles, situe dans un bas-fond, sur la rivière  le Meu, qui sert à la commune de limite sud, est assis sur la route de Rennes a Lorient. — Dans un titre de 1031 (Dom Lobineau, I. ll, p. 108 ), on trouve Mordelles nomme Mauricella, parochia du Mauricellœ (titres de Sain Georges ), nom qui s'explique par « la cellule ou l'ermitage de Maure››; et il n'est pas tres-hasardeux d`avancer que ce lieu a pu être jadis célèbre par la présence d'un des soldats Maures dont la légion séjourna en Armorique, et qui serait devenu ermite en se convertissant il la foi chrétienne. Mordelles est aussi nomme Morzell, Mursel, et Morselle; noms dans lesquels mor ou maur peut entrer en composition et signifier grand; alors Morselle pourrait signifier grande habitation (en gaulois, cell veut dire lieu habité), ou grand ermitage, par union d'un  mot breton et un mot latin. Ces diverses étymologíes ne sont d'ailleurs que des suppositions, car rien ne donne plus de poids à lune qu'à l'autre. — Quoi qu"il en soit, Mordelles, qui avait donné son nom à celle des portes de Rennes qui y conduisait, est une très-ancienne paroisse : elle existait au X." siècle, et dépendait alors des moines de Saint-Melaine, qui y possédaient, en outre, les prieurés de Saint-Gobrien et de Montua; ce qui prouverait qu”ils avaient été les curés primitifs. En avril 1238, les religieux échangèrent leur prieuré de Saint-Gobrien contre le bénéfice qu'avait dans la paroisse de Melesse un des chanoines du chapitre de Rennes. Aussi, depuis lors la cure fut-elle à  la nomination d'un des chanoines de cette cathédrale jusqu`en 1600, époque à laquelle les évêques obtinrent que la plupart des cures fussent mises a l'alternative. — Lisoius de Craon, dont parle Ogée, eut pour successeurs Subhard l'ancien et Subhard le jeune. Ce dernier fut dépossédé en 1032 par Alain III, duc de Bretagne. Alain donna sa seigneurie de Mordelles a Alfred ou Auffroy, fils d'Aanan, qui fit la tige d'une suite de seigneurs qui prirent le nom de Morzelles ou Mordelles. Heslory, en faisant sa fille religieuse à Saint-Georges de Rennes, donna a la cure la moitié de la dîme de la paroisse, à l'exception des trois fermes qui avaient été données a Saint-Georges. Cette donation fut confirmée par Mainfinit, Urscand et Evigne, ses fils, et par trois de leurs barons, Rivallon, Guihenoc et Fromond. L'acte est de 1168.

Pierre de Mordelles était écuyer, sénéchal de Penthièvre et de Dinan de 1270 in 1304. Ses armes étaient d'argent à un lion rampant de sable. Olivier de Morzelles fut conseiller de Jeanne de Penthièvre, femme de Charles de Blois. ll fut plusieurs fois député en Angleterre, pour la délivrance de ce prince. Geoffroi de Mordelles fut un des
signataires du traité de Guérande entre Jean V et le roi de France, en 1380. Guillaume de Mordelles, sieur de la


Bredaye, du Margat, en l'Hermitage, parut à la cour des ducs depuis 1400 jusqn'à 1418. Olivier, son fils, fit aveu pour la Bredaye en 1449, époque de la mort de son père. ll servit sous les ordres de Tangui du Châtel, avec ses frères ou parents, Alain et Jehan de Morzelles, sieur du Portal, en l'Hermitage, qui était écuyer dans la compagnie de la Feuillee, en 1424, avec ses amis et voisins, Guillaume Freslon, Jehan Botherel d”Apigné, Michel Machefer de la Macheferrais, Jehan Levoyer et Bertrand Hatelou, tous trois de Mordelles, René Raguenel de Beaumont, Amauri de la Motte, Gilles Lotodé de Cherville, en Moigné, Jehan de 5aint-Gi1les. Pierre de Mordelles était écuyer dans les gardes de François II. Bertrand de Mordelles, son fils, parut à l'arrière-ban de l 'évêché de Rennes, en 1503. Il parait etre le dernier rejeton de cette illustre famille. Long-temps auparavant cette famille n'avait plus la jurisdicition de Mordelles.

Le premier seigneur de Beaumont est Pierre de Beaumont, témoin dans une charte de 1208. Vers la fin du même siècle, cette terre passa par mariage dans la maison de Malestroit. Vers 1350, elle passa dans la maison des Raguenel de la Bellière, qui prirent, en 1313, le nom de Raguenel de Malestroit, par suite du mariage de Jeanne de Malestroit avec Jean Raguenel II. C'est ce dernier qui, ayant obtenu du duc Jean V des lettres-patentes érigeant Beaumont en haute-justice (1433 ), fit élever les mottes dont deux existent encore. Cette terre, après avoir passé en plusieurs mains, appartient aujourd'hui à M. de Farcy. — Artois est regardé comme ayant appartenu aux premiers seigneurs de Mordelles. Ce château, bâti sur les bords du Meu, est de belle apparence, et environné d'un charmant pays. Il appartient aujourd'hui a Mme de la Villethéart. — La Sauldrais, joli manoir, voisin d'Artois, appartenait, en 1350, à Perrot du Tronchay, dont le petit-fils épouse (1465) Perrinne Freslon de la Freslonnière. Ce manoir avait passé dans la maison de Kergrist, qui l'a vendu a M. de la Villethéart, commandeur de Malte, propriétaire actuel. — La Ville Choan ou Chohan, du pays de Dol, qui avait dans ses armes une chouette de sable. Cette terre avait été acquise, vers 1760, par M. Huchet de la Bédoyère; il l'a revendue En la famille de Farcy, qui la  possède encore.

« Salomon Kerbonnez, nous écrit M. l'abbé Oresve, dont ››nous regrettons de ne pouvoir reproduire ici toutes les savantes notes sur les familles qui ont habité les manoirs ci-dessus, était recteur de Mordelles et chanoine de l`église cathédrale de Rennes. ll fut le premier qui donna le signal de la Ligue en Bretagne. Le lundi 13 mars 1589, à la foire de Rennes, il y eut une émotion environ les onze heures du matin, pour empêcher les huguenots d'être ad››mis dans la ville, dit Pichar. Le duc de Mercoeur était le  chef, et Kerbonnez n'agissait que d'après ses ordres. Son zèle n'empêcha pas sa paroisse d'etre dévastée et maltraitée par les ligueurs eux-mêmes. Ils y tinrent long-temps garnison, tandis qu'il y avait un poste de huguenots au Molant et à Mejusseaume. Le bourg fut pris et repris plu››sieurs fois, tantôt par les Anglais au service du roi, en 1592, et tantôt par les Espagnols, en 1593. Ceux~ci, qui, pour défendre la religion catholique, n'en étaient pas meilleurs chrétiens, y commirent des dégâts et des crimes effroyables.

Ce fut au mois de janvier 1597 qu”il y eut plus de désordres dans les environs de Rennes, parce que les soldats se répandirent par bandes dans les campagnes, sans chefs,  sans discipline, tuant, pillant selon leurs caprices, et cela au mépris de la trève. lls tombèrent un jour sur le bourg de Pace. Les habitants, comptant sur la trève, avaient cessé de se tenir sur leurs gardes, et avaient défait les barricades qu”ils avaient élevées autour du bourg, de manière que les ligueurs y entrèrent sans peine, et y firent "beau ménage tout à leur aise, dit un auteur du temps. Conduits par Trémereuc, frère du sieur du Bordage, ils s'y cantonnèrent. Les gens de Pacé, surpris et effrayés, ne purent se réunir pour les déloger. Ils étaient cependant assez ardents dans le parti des huguenots, dans lequel ils avaient entraîne le sieur de Montbourcher. Ils étaient formés en compagnies; car, dans ces tristes temps, tout le monde était armé pour un parti ou pour l'autre, et chaque paroisse était organisée en compagnie pour se défendre. Les compagnies de Saint-Grégoire et de Saint-Laurent vinrent attaquer les ligueurs dans le bourg de Pacé, et, secondés par les gens du lieu, parvinrent à les débusquer. Ils se rejetèrent sur le Rheu et sur Mordelles, qu'ils ravagèrent. ››

Les dîmes et revenus ecclésiastiques, en Mordelles, se partageaient comme il suit : le Chapitre avait le trait de Mouillé, valant 1,000 livres; ceux du bourg et de Quercé, 920; partie de Cranou, 850; en tout 2720 livres. Les dames de Saint-Georges avaient partie de Cranou, 600 livres; id. de Quessé, 530; id. du Bourg, 588; le trait de Classé, 1,000; partie de Mouillé, 863; les dîmes vertes de la Violaye et de Beaumont, 1,200; en tout 4,801 livres. Le curé avait partie de la Violaye et les novales dans tous les autres traits; en tout à peu près 2,400 livres. La chapellenie d'Artois tait de 214 livres; celle de Saint-Adré de Beaumont, de 250 (dîmes en Chavagne et Bréal); celle de la Rousselais, 72; enfin celle de Saint-Gobrien, 232. — Il y a foire à Mordelles le 2 août et le 6 novembre. — Géologie : terrain tertiaire moyen; à 500 m. au sud-ouest du bourg, schiste ardoisier. — On parle le français

Patrimoine. Archéologie / Glas. Arkeologiezh

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Le bourg Ar bourg
Fanum gallo-romain  
Église saint Pierre (1856-1861) Iliz
Maison de l'Abbaye (début XVIIIè)  
Château de la Chesnaye (XIXè)  
Château d'Artois(XVIIè-XIXè)  
Château de la Haichois (XIXè)  
Château de Beaumont (XVIIè)  
Château de la Ville au Bois (XVIIIè-XIXè)  
Manoir de Chancé (XVIIIè-XIXè)  
Manoir de la Ville-Chevron (XVIIIè-XIXè)  
Ferme de la Rousselais (XVIIè-XXè)  
Ferme de la Péronnais (XVIè-XXè)  
Ferme du Patis-Colas (XIXè)  
Moulins de Mordelles (XIXè)  
   
   
   

Fouilles du fanum gallo-romain

(photo provenant de Facebook)

 

i

Concours de pêche. 1901 (photo provenant de Facebook)

Arrivée de la route de Rennes. 1912

Étymologie / Gerdarzh :

* Marteville & Varin (1843) : Mordelles est aussi nomme Morzell, Mursel, et Morselle; noms dans lesquels mor ou maur peut entrer en composition et signifier grand; alors Morselle pourrait signifier grande habitation (en gaulois, cell veut dire lieu habité), ou grand ermitage, par union d'un  mot breton et un mot latin. Ces diverses étymologíes ne sont d'ailleurs que des suppositions, car rien ne donne plus de poids à lune qu'a l'autre

* Jean-Yves Le Moing (1990) : Mauricelliae, 1032; Morzella, 1070

* Erwan Vallerie (1995) : in Mauricellae parrochia, 1031; Mozella, 1080; Morzellae, 1158; Morzelles, 1300

* Éditions Flohic : du latin Mauricella, "cellule du Maure", ou peut-être du celte Morzelles, 'grande habitation", en référence à la présence d'un fanum, édifice gallo-romain sur le site de Saint-Sermon.

Personnes connues Tud brudet
   

Armorial * Ardamezeg

d'Artois de Beaumont de la Bintinaye Farcy Machefer
Seigneurs dudit lieu, en Mordelles, évêché de Rennes

"de sable au greslier enguiché d'argent"

"en sabel e c'hrizilher louanek en arc'hant"

(PPC)

Seigneurs dudit lieu et de la Guichardais, en Mordelles; de Monteval, en Saint-Etienne de Rennes; de Sainte-Foy, en Toussaints (Rennes)

"trois pots surmontés d'un lambel"

"tri fod leinet gant un drailhenn"

couleurs inconnues

Livioù disanvet

- Jean, alloué de Rennes en 1384

(PPC)

seigneurs de la Grignonnaye originaires de Normandie

seigneurs de Pont-Fatcy en Normandie; de Saint-Laurent; de Paynel; de la Daguerie; de la Ville-du-Bois; en Mordelles; de Malnoé, en Saint-Christophe-du-Bois; du Roseray et de Cuillé, en Anjou; de Montoray en Saint-Maugan; du Chalonge en Trévéron; de Trésséol en Plounévez-Porzay; de la Beauvais, en Piré; de Mué, en Parcé; de Villiers, d'Arquenay, de la Touche et de Montvallon, au Maine; de Kerverret, en Lanloup.

"d'or fretté d'azur de six pièces; au chef de gueules"

"plezhek etre glazur hag aour a c'hwec'h pezh; e gab en gwad"

devise / sturienn :

  Jamais ne varie

(PPC)

seigneur de la Macheferaye et du Verbois, en Mordelles; de l'Ecluse, en Plestan

"de sable à trois fers de cheval

d'argent"

"en sabel, e zri houarn-marc'h en arc'hant"

Références et montres de 1427 à 1535

(PPC)

Vie associative Buhez dre ar gevredadoù
   

Communes du canton de Mordelles Kumunioù kanton *Morzhell

Chavagne

*Kavan

Cintré

*Kentreg

L'Hermitage

*ar Peniti

Mordelles

  *Morzhell

Le Rheu

*Reuz

Saint-Gilles

*Sant-Jili

Communes limitrophes de Mordelles

Parrezioù tro war dro *Morzhell

Cintré La Chapelle-Thouarault l'Hermitage Le Rheu Chavagne Bréal-sous-Montfort Talensac

Sources; Bibliographie / Eien; Levrioù :

* OGEE : Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne; vers 1780; 

* A. MARTEVILLE et P. VARIN, vérificateurs et correcteurs d'Ogée. 1843.

* Adolphe JOANNE : Géographie du département d'Ille-et-Vilaine. Librairie Hachette et Cie. 1878

* Dictionnaire MEYRAT : Dictionnaire national des communes de France. (année 1968). Editions Albin-Michel Paris. 1970

* Jean-Yves LE MOING : Les noms de lieux bretons de Haute Bretagne. Coop Breizh. 1990

* Erwan VALLERIE : Diazezoù studi istorel an anvioù-parrez * Corpus * Traité de toponymie historique de la Bretagne. An Here. 1995

* Daniel DELATTRE : L'Ille-et-Vilaine. Les 352 communes. 2004

* Michel FROGER et Michel PRESSENSE : Armorial des communes des Côtes d'Armor et d'Ille-et-Vilaine. 2008

* Éditions FLOHIC : Le Patrimoine des communes d'Ille-et-Vilaine. 2000

Liens électroniques des sites Internet traitant de Mordelles / *Morzhell

* lien communal :  https://www.ville-mordelles.fr/

* Wikipedia brezhonek :  https://br.wikipedia.org/wiki/Morzhell

* forum du site Marikavel : Academia Celtica

* Autres pages de l'encyclopédie Marikavel.org pouvant être liées à la présente :

http://marikavel.org/heraldique/bretagne-familles/accueil.htm

http://marikavel.org/broceliande/broceliande.htm

* solidarité nationale bretonne avec le département de Loire Atlantique : Loire-Atlantique

* sauf indication contraire, l'ensemble des blasons figurant sur cette page ont été dessinés pat J.C Even, sur bases de GenHerald 5.

* Introduction musicale de cette page : Bro Goz Ma Zadoù, hymne national breton, au lien direct : http://limaillet.free.fr/MP3s/BroGoz.mp3

hast buan, ma mignonig, karantez vras am eus evidout va vite, mon petit ami, je t'aime beaucoup

go fast, my little friend, I love you very much

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