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Noms de lieux * Anoioù lec'hioù

Noms de personnes * Anaoioù tud

Breizh

Bretagne

Bro-Wened

Pays de Vannes

Gwened

Vannes

  Bains-sur-Oust

*Baen-Ballon / *Baen-an-Oud

 

pajenn bet digoret e 2003 page ouverte en 2003     * forum du site Marikavel : Academia Celtica  dernière mise à jour 09/02/2020 14:25:17

Définition : commune de la Bretagne historique, en Bro-Wened, évêché de Vannes.

Aujourd'hui dans la région administrative non historique dite 'de Bretagne', département d'Ille et Vilaine; arrondissement et canton de Redon; sur l'Oust, l'Aff, et le canal de Nantes à Brest.

Superficie : 4463 ha.

Population : 3000 'communiants' vers 1780;  3515 hab. en 1863; 2649 hab. en 1881; 2100 hab. en 1970; 2610 hab. en 1982; 3021 hab. en 1999; 

Blason :

* Éditions Flohic (2000) : "les hermines représentent la Bretagne, les deux haches d'armes rappellent la victoire de Nominoé sur les Francs en 845, et les trois étoiles évoquent le culte marial qui a fait de la grotte de Bains un lieu de pèlerinage très populaire".

* Froger & Pressensé (2008) : "de gueules à un pal d'hermine accosté de deux haches d'arme d'or adossées; au chef cousu d'azur à trois étoiles d'argent". Concepteur : Jean Compadre

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* JC Even : "en gwad e beul en erminoù hebiaet gant daou c'hadvouc'hal en aour kein ouzh kein; e gab gwriet en glazur karget gant teir steredenn en aour"

Paroisse : église sous le vocable de Saint Jean Baptiste.

Histoire :

* Ogée (1780) : Bains; dans une plaine, à 11 lieues à l'E.-N.-E. de Vannes, son evêché; à 11 lieues I/2 de Bennes, et à 1 lieue 1/2 de Redon, sa subdélégation. Cette paroisse est un prieuré de l'abbaye de Saint-Sauveur de Redon, qui présente la cure, de même que Cornon et Saint-Marcelin, ses annexes. On y compte 3000 communiants. Il s'y tient une foire par an. --- Ce territoire renferme une quantité prodigieuse de landes et quelques bois taillis, dont le plus considérable est celui du Plessis, qui contient environ 150 arpents. Les terres qui sont en labeur ne sont pas mauvaises; mais elles ne sont pas fort étendues.

Ce fut en 833 que cette paroisse fut donnée à Saint-Sauveur de Redon. Cette abbaye ne faisait que de naître. Nominoé lui avait déjà fait des ïdonations considérables, lorsque Louis-le-Débonnaire vint en Bretagne, et l`enrichit de nouveaux bienfaits : il lui donna la paroisse de Bains, dans laquelle ce monastère était situé. Nominoé, devenu roi de Bretagne, confirma à cette maison la possession de tous ses biens. --- Les maisons nobles de la paroisse de Bains sont : les Champs-Beaux, la Giraudais, la Ville-Janvier et Coipel. --- En 1440, on y voyait la Provôtais, la Rouardais, Trecouet, la Roche, la Guellenaye, le Dreneuc, la Noé, la Fosse-Piquet, la Buffardaye, la Roche, la Charouayer et le Bot*.

Par accord fait entre Jean II, duc de Bretagne, et les moines de Redon, il fut décidé, dans le courant de septembre 1289, que la paroisse de Bains ressortirait au siège de Rennes, où elle ressortit encore aujourd'hui.

On voyait jadis, dans le territoire de Bains, sur les bords de la rivière d'Oust, le monastère de Ballon *, dont il ne reste plus aucuns vestiges. L'histoire en fait mention, à l'occasion de la bataille qui s'y donna, en 845, entre l'armée de Charles-le-Chauve, roi de France, et Nominoé, souverain de Bretagne. L'armée du roi, composée de Français et de Saxons, était mêlée de cavalerie et s'infanterie ; celle du prince breton était presque toute de cavalerie bien montée. Les armes de ces cavaliers ne consistaient alors que dans un pot de fer, une cotte de mailles, un bouclier et des javelots. Les Français, outre ces dernières, portaient encore des demi-piques de six pieds de longueur, et des épées fort courtes, mais larges et sans pointes. La bataille dura près de deux jours, et ne tourna pas à l'avantage des Français, qui fu
rent entièrement défaits. Le roi se sauva pendant la nuit, et se réfugia au Mans, pour éviter de tomber entre les mains de Nomínoé, avec lequel il fit ensuite la paix.

* Marteville & Varin (1843). BAINS (aquœ Rothoneœ, sub invocatíone sancti Joannis-Baptistœ), commune formée de l'anc. par. de ce nom, moins son annexe, Cornon, ou plutôt Cournon, actuellement commune. (V. ce mot.). Bains est aujourd'hui cure de 2è classe , et a conservé Saint-Marcellin , son ancienne annexe. --- Limi.. : N. Glenac, Cournon, Sixt, Renac; E. Avessac, Renac; S. Avessac, Saint-Nicolas-de-Redon, Redon, Saint-Perreux; O. . Saint-Vincent. --- Princip. vill. : la Coudrais, Craon, Bois-Dehors, Haut et Bas-Bel, la Couplais, la Boulais, Haut-Prain, la Borguais, le Gravier, l'Aumônerie , Fouye , Saint-Jean-des-Pileurs, Tournebride , Colomel, Roche du-Tay, la Bouguenais, Chêne-Guihard, la Derais, Trecouet, Penleur, les Touches, Guée, Saint-Marcellin (où il y a une chapelle), le Bleheu, la Canaís , la Piclais, Tabussais , la Ruée, Saint-Méen, la Bonnais, --- Superf. tot. 6,999 hect. 92 a. 16 c. , dont les princip. divis. sont : ter. lab. 1736; prés ct pât. 565; bois 574; verg. et jard. 27; landes ct incultes 3773; étangs 16; sup. des prop. bat. 36; cont. non imp. 245. Construct. div. 763; moulins 7 (à eau, de l'Aumônerie, de Saint-Laurent (ancienne chapelle), du Pont-Apé, de la Grée-de-l'Aumônerie; de Bennet, à vent).

l.a commune est limitée a l'ouest par la rivière d”Oust; la Vilaine la traverse un peu au sud, et vient la limiter dans une partie de l'est. --- La route royale 177, dite de Caen a Redon, traverse aussi la commune de Bains de l'est au sud. --- ll y a dans le bourg même une communauté de soeurs de la Providence. --- Le retable du maître-autel, en pierres blanches, et d'ordre corinthien, est remarquable. ll a été érigé par les moines de Redon. Les fenêtres ogivales qui sont au côte sud de la nef donnent au monument le caractère du XIIIè siècle. M. Troprée, curé actuel, a l'intention, lorsque l'on regularisera les ouvertures de cette eglise, de conserver et de retablir les ogives qui existent encore : c'est un exemple a imiter. --- Le presbytère , de construction moderne , est remarqual›le. --- ll n'y avait pas foire à Bains, ainsi que l'a dit Ogée; maintenant il n'y en a pas non plus. --- Le parc du Plessix, domaine autrefois aux moines de Redon, renferme actuellement une maison de campagne assez jolie. --- Aux terre nobles indiquées par notre auteur, il faut ajouter Courcoulle et Gouesnel. --- Le Bot est actuellement en Langon. --- La bataille de Ballon, qui a été long-temps regardée comme un des plus importants évènements de l'histoire de Bretagne , n'eut pas lieu , selon nous , dans l'endroit où les écrivains de notre pays l'ont placée. Le prétendu monastère de Ballon, ou ses ruines, ne se retrouvent ni à Bains, ni dans les environs de Redon; et l'on est forcé, pour donner au fait quelque vraisemblance , de chercher une analogie au nom de Ballon dans celui de Brehon, lieu voisin de Bains, mais où il n'y a aucunes traces d'anciennes constructions. --- Si l'on consulte les chroniques du temps, l'on s'y forme la conviction que Charles-le-Chauve et Nominoe se livrèrent bataille avant que le premier ne fut arrivé en Bretagne. - « Karolus (dit la chronique d'Angoulême) secundâ vice Britanniam profeciscensn cum Nomenoio congreditur, anno 845. Charles, partant une seconde fois pour se rendre en Bretagne, en vient aux mains avec Nominoe, l'an 845. Non moins explicite à cet égard, la chronique d'Aquitaine dit : «Karolus iteratp Britanniam pergens cum Nomenoio dimica, anno 845. Charles , marchant une seconde fois contre la Bretagne, livre combat à Nominoe, l'an 845. ---

La chronique nantaise, de son côte, s`exprime ainsi : "Nominoius, ad vastandas Karoli provincias..... Ligerim transiens in Aquitaniam ingreditur...; indè longiùs contrà Andegavos processit ... cui venit obviam Karolus rex..... ›› « Norninoé, voulant ravager les provinces de Charles..., passe la Loire, et pénètre en Aquitaine; puis, comme il poussait plus loin, et marchait contre les Angevins..., le roi Charles marcha a sa rencontre.›› Ainsi donc, lorsque les deux armées se rencontrèrent, d'une part, Nominoe était hors de ses états, et marchait sur Angers, après avoir ravage l'Aquitain, d'une autre part, Charles-le-Chauve était en marchze pour faire invasion en Bretagne. --- Réginon fournit à cet égard la dernière preuve. Après avoir donné tous les détails du combat , reproduits fort au long par Don Morice, et mentionné la déroute de Charles-le-Chauve, il termine en ces mots : Ditati itaque Britones opibus Francorum armisque instructi in sua se recolligunt". Après quoi les Bretons, enrichis des dépouilles des Français, et charges des armes de ceux-ci , se retirent en leurs foyers. --- ll n'est plus permis de douter, après toutes ces citations, que la bataille de Ballon, dans laquelle Charles-le-Chauve fut vaincu par Nominoé, n'eut pas lieu en Bretagne. Mais à quelle localité faut-il la rapporter? ll nous parait qu'à cet égard il y a peu d'incertitude. Si d'Argentré et les Annales de Sauvage disent que ce combat eut lieu près de La Gravelle. il semble que l'on doit plutôt penser qu'il fut livré près de Ballon, dans le Maine , lieu on il y avait un château-fort que le roi de France fit raser en 1199. En effet, Ballon est situé dans un territoire qui répond à la position où purent se rencontrer les deux armées, l'une marchant sur la Bretagne, l'autre revenant d'Aquitaine avec son butin, et marchant contre les Angcvins. Si celle opinion avait besoin d'un appui. nous le trouverions dans le père Daniel (Hist. de France, t. 2 . p. 353) : « Le duc de Bretagne, dit-il, le surprit (Charles-le-Chauve ), dans le temps qu'il passait des marécages, sur les confins de la Bretagne et du Maine, avec beaucoup de difficultés et d'embarras, en un lieu nommé Ballon". Or, Bains, qui est à environ 30 lieues du Maine, et qui en est séparé par l'Anjou, n'est pas tant sur les confins de cette province que Ballon (dans le Maine), qui est il 13 lieues de la Bretagne, et à 14 lieues du point fixé par Sauvage et d'Argentré. Ballon est, en outre, à six lieues du Mans; et ainsi s'explique la fuite de Charles-le-Chauve jusqu'à cette ville; tandis que l'on ne peut admettre que le roi de France se soit enfui, d'un seul trait, des environs de Redon jusqu'au Mans, c'est-à-dire ait franchi, sans regarder derrière lui , un espace de prè de quarante lieues, à une époque ou les voies de communication étaient presque impraticables, et où une armée en déroute ne pouvait pas faire six lieues parjour. --- Après avoir examiné les chroniques qui rapportent le fait, sans citer l'endroit ou il eut lieu; apres nous être etayés du texte du père Daniel, il nous reste à recourir a deux chroniques qui désignent le lieu du combat.

La première est le C/zronlvon
Bi-ilamiicum; elle ÿcxprime ainsi : « lis diebus pugnavit
n Nominoe conlrù karolum rcgcin, in vlllû qule rllcitm*
il Ballon. ›› 1 lin cea jours, Nominoé livra bataille au roi Charles, au village qui se nomme Ballon.: lin elïel, jamais
villa n”a signillú inonasliëreç et l'on ne läúlonne que pins .
apres' cette citation, de reconnaître que le seul indice sur lequel on s'appuye pour dire que Ilnlloa était près de Redon , est la phrase suhaule , qu`on lit au Cartulaire de Tabhayc dc ce nom, dans un aclc de donation za lpso anno,
›› quando karolus venil ad Nominoe in Ballon. ›› li En
›~1”annúe ou lîllarlofs cmnballit Nomiuoo a Ballon. ››(lelte
balaillc etait assez notable pour qu'on la prit comme clale,
îx une epoque où lc calendrier etait ihre aux plus singu-
licres inccrliludcs;n1ais qui peut, de celle inamùrc dc da-
ter ull acle, tirer la consequence que Ballon úlait pres de
Redon il »-Celle discussion, qui complete ce que nousavons
déja dit (A1›i'cgú de Vllisioire, p. 92 ,note l), .¢.crvi1°a peut-
elrc il dcnlonlrcr avec quelle h?gerelü les historiens se co-
pient les uns les autres, sans songer *l remonter aux sour-
ces. Nous avons , il vc meme endrr›il,cxaniine la question
relative El la date qu”il faul: assigner El la vicloire remportée
par i\on1inoó sur Charles-le-Chauve. -- Géologie : le terrain repose sur schiste argileux. -- On parle le français.

Q? La voie romaine allant de Redon à Loheac, par les bourgs de Lieu ron et de Saint-Marcellin, traverse la commune du nord au midi, en laissant le bourg à un quart de lieue à l'oust. Elle passe sur la chaussée de Pelang de la lšalaillc.

Cî Selon ïleric (t. 5, p. 316, nolc),le monastère de Bai-
lou aurait été fondé ? par îllaallnon, évêque d'Alcih, qui
mourut en 038. ›- Saint Thurian ou Thuriaf, qui devint c'»(.-que de Dol, naquila '.l`rúcouct. - Il y a en Bains quatre chapelles, 1° la chapelle Saiut«l\lceu, que l'on présume être les seul. restes de Fancicnne abbaye de lšrzîsal; 2” Saint Marcellin; 3” Saint-Jean-Apileur, c'est-à-dire, sans doute, Sainl-Jean-.*lvl!cul*; ce qui signifie en breton 1'évrmgélislc:
ll* Haut-Prain , dit 5ainl:~Andre. - Près du chateau de la Perrière, on voit des restes de fortifications en terre. On trouve fréquemment des débris de briques romaines, surout au has de la colline dite Bulle de Mulatrm.. - Non loin de la Ferriere existe un cromlec/1. - Jusqu'en 1289, les moines de Redon avaient seuls exercé la justice sur ce pays; mais sons le duc Jean II il fut convenu que Bains ressortirait au siège de Rennes.

Ab. P.

- 833 :  la paroisse est donnée à l'abbaye Saint-Sauveur de Redon.

-834 : (cf Ed. Flohic) : "Vers 834 l'empereur Louis le Débonnaire donne à saint Conwoion le territoire entier de la paroisse de Bains, qui se trouve ainsi sous la domination de l'abbaye de Redon".

- 845 : la Bataille de Ballon

* cf Ogée (1780) : "On voyait jadis, dans le territoire de bains, sur les bords de la rivière Oust, le monastère de Ballon, dont il ne reste plus aucun vestige. L'histoire en fait mention, à l'occasion de la bataille qui s'y donna, en 845, entre l'armée de Charles-le-Chauve, roi de France, et Nominoé, souverain de Bretagne. L'armée du roi, composée de français et de saxons, était mêlée de cavalerie et d'infanterie; celle du prince breton était presque toute de cavalerie bien montée. les armes de ces chevaliers ne consistaient alors que dans un pot de fer, une cotte de mailles, un bouclier et des javelots. Les français, outre ces dernières, portaient encore des demi-piques de six pieds de longueur, et des épées fort courtes, mais larges et sans pointe. La bataille dura près de deux jours, et ne tourna pas à l'avantage des Français, qui furent entièrement défaits. Le roi se sauva pendant la nuit, et se réfugia au Mans, pour éviter de tomber entre les mains de Nominoé, avec lequel il fit ensuite la paix". 

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Pour l'identification du lieu de la bataille de Ballon : voir controverse chez Marteville et Varin qui proposent plutôt Ballon, dans le Maine, à 6 lieues ( env. 24 km) du Mans.

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Dénonciation d'un mensonge : 

Je tiens en effet à dénoncer ici, publiquement, une manipulation mystico-politique. 

En effet, en parcourant le petit paragraphe consacré par les Éditions Flohic à une croix érigée en 1952 sur le site (supposé) de la bataille qui aurait vu la victoire de Nominé sur Charles-le-Chauve, j'ai lu ceci :

" Cette croix celtique se dresse sur un monticule de terre érigé sur l'emplacement où Nominé, comte de Vannes, a vaincu les armées de l'envahisseur franc Charles le Chauve, roi de France, en 845. Cette victoire assure l'indépendance de la Bretagne dans les limites actuelles de son territoire, y compris la Loire-Atlantique. Le tumulus est inauguré le 29 juin 1952, à la lueur des torches et de la lune, en présence de druides, bardes et ovates".

Ce texte contient plusieurs contre-vérités historiques faciles à démontrer et à démonter : 

- Francs et Bretons étaient liés par des raisons et des intérêts politiques communs depuis l'époque de Clovis et d'Arthur, et que même s'il pouvait y avoir dissensions entre les deux parties, aucune des deux  n'avait toute la vérité pour elle, et Charles le Chauve, en tant que successeur de Charlemagne, ce dernier étant reconnu en sa qualité de césar ( = vice empereur) par le pouvoir impérial de Constantinople et par le Pape, ne pouvait donc être qualifié d'envahisseur, puisque les Bretons reconnaissaient le césariat de Charlemagne et donc de ses héritiers.

- Les Bretons d'Armorique étaient chrétiens depuis l'époque de Maxime (383-388), et le druidisme était hors sujet à l'époque de Nominoë et Charles le Chauve. Les druides, bardes et ovates n'ont donc strictement rien à voir avec l'épopée nominéenne.

i

1912

Patrimoine. Archéologie

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Voie romaine Rieux - Rennes  
Le bourg Ar bourg
Église Saint Jean Baptiste Iliz Sant yann Badezour
Chapelle Saint Marcellin (reconstruite après 1945)  
Chapelle Saint Méen  
Chapelle Saint Michel de la Giraudaye (XVè; XVIIè)  
Chapelle Saint Laurent (XVè; XVIè)  
Sources thermales  
Fontaine blanche Feunteun wenn
Château des Chambots (XVè, XVIIè XIXè)  
Château de la Giraudaye (XVIè)  
Château de la Ferrière (1771; XXè)  
Château de Trécouet (XIXè)  
Château de la Rouardaye  
Manoir de la Morinaye  
Statue de Nominoé Delwenn Nevenoe
Croix de la Bataille Kroaz an Emgann
Grotte de Lourdes (1902)  
Moulin à vent des Couëdies (ruines)  

Étymologie

- Marteville et Varin (continuateurs d'Ogée) : "aquae Rothonae, sub invocatione sancti Joannis-Baptistae"

- Erwan Vallerie (1995) : "Baiocum, 1092; de Balneo, 1238; Baeng, 1330; Bains, 1487; Baign, 1516; Bins, 1654; Bains, 1779"

- Éditions Flohic (2000) : " ... en 834 l'église de cette paroisse est déjà appelée "antiqua ecclésia Bain".

"du breton baen, "bain", la lettre S étant ajoutée à l'époque moderne".

"La paroisse est désignée comme "ecclesia de Balneo" en 1238, puis "aquae Rothone". Elle comprend alors les territoires de Bains, Redon, Sainte-Marie et Cournon, soit plus de 9500 hectares, et peut-être celui de Glénac".  

- Hervé Abalain (2000) : "Bain en 834; Baiocum en 1092 < balneum, "bain"; le nom est au singulier en 834".

Personnes connues Tud brudet

Nominoë

Nevenoe

Thomas CHASSEREAUX

général de brigade et baron d'empire

Bains, 1763 / Paris, 1840

 
Louis LEVÊQUE

général de division, comte d'Empire, pair de France sous la Restauration

 

Armorial * Ardamezeg

         
    Lambart      
    seigneur de la Ferrière; de la Provostais, en Bains; de Lanruault; du Plessix-Rivault, en Allaire; du Boisrappé; de la Fonchais

"de gueules au griffon volant

d'argent"

"en gwad e leonerez nijant en arc'hant"

références et montres de 1481 à 1536

(PPC)

     

Vie associative Buhez dre ar gevredadoù
   

Communes du canton de Redon Kumunioù kanton redon
Bains sur Oust  
La Chapelle de Brain    
Langon    
Redon  
Renac    
Sainte Marie    

Communes limitrophes de Bains-sur-Oust Parrezioù tro war dro Baen-Ballon
La Gacilly     Renac Sainte-Marie Redon

Sources; Bibliographie :

* OGEE : Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne; vers 1780;

* MM. A. MARTEVILLE & P. VARIN, continuateurs et correcteurs d'Ogée, 1843.

* M.N BOUILLET : Dictionnaire universel d'histoire et de géographie. L. Hachette et Cie. Paris. 1863.

* Éditions ALBIN-MICHEL : Dictionnaire Meyrat. Dictionnaire national des communes de France. 1970.

* Erwan VALLERIE : Diazezoù studi istorel an anvioù-parrez * Corpus. An Here. 1995

* Éditions FLOHIC : Le patrimoine des communes du Morbihan; 1996 

* Hervé ABALAIN : Les noms de lieux bretons. Universels Gisserot. 2000

* Daniel DELATTRE : L'Ille et Vilaine. Les 352 communes. Éditions Delattre. 2004. 

* Michel FROGER et Michel PRESSENSE : Armorial des communes des Côtes d'Armor et Ille et Vilaine. 2008.

Liens électroniques des autres sites traitant de Bains-sur-Oust / Baen-Ballon  : 

* lien communal : 

* forum du site Marikavel : Academia Celtica

* Autres pages de l'encyclopédie Marikavel.org pouvant être liées à la présente :

http://marikavel.org/heraldique/bretagne-familles/accueil.htm

http://marikavel.org/broceliande/broceliande.htm

* solidarité nationale bretonne avec le département de Loire Atlantique : Loire-Atlantique

* sauf indication contraire, l'ensemble des blasons figurant sur cette page ont été dessinés pat J.C Even, sur bases de GenHerald 5.

* Introduction musicale de cette page : Bro Goz Ma Zadoù, hymne national breton, au lien direct : http://limaillet.free.fr/MP3s/BroGoz.mp3

hast buan, ma mignonig, karantez vras am eus evidout vas vite, mon petit ami, je t'aime beaucoup

go fast, my little friend, I love you very much

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